L’astuce pour faire des Pancakes Américains — leschosesquibrillent

Je ne vais pas faire semblant, même si j’essaye de manger plus sainement, il y a une petite chose que j’adore et que je n’arriverai jamais à arrêter de manger : les pancakes. Je les aime bien moelleux, légers et épais, et pour parvenir à cette texture, avec mon copain nous avons testé une nouvelle recette qui élève les pancakes à un nouveau niveau de gourmandise. Cette recette, c’est celle des Buttermilk Pancakes, ou si vous préférez, les pancakes à l’américaine. Après toutes ces années de préparation de pancakes, nous n’avions jamais testé cette recette, et maintenant que nous la connaissons, pas de retour en arrière possible.

Cette recette contient un ingrédient particulier qui rend les pancakes si fluffy et délicieux, et c’est le Buttermilk. Cet ingrédient, c’est tout simplement du lait qui a fermenté, soit avec du jus de citron, soit avec du vinaigre. Pour ce faire, versez la quantité de lait (il doit être entier) dont vous avez besoin dans une bouteille en verre, ou un grand verre, et ajoutez y un des deux ingrédients précédemment cités. Laissez agir 15 minutes, le lait va « tourner » et c’est normal. Ensuite, réalisez votre recette de pancakes habituelle, en ajoutant le lait fermenté à la place du lait classique.

buttermilk-pancakes

Voici la recette que nous avons réalisée et qui était délicieuse :

Dans un saladier, versez 350g de farine à gâteau, un sachet de sucre vanillé et un sachet de levure, mélangez bien. Dans un deuxième saladier, battez deux oeufs et ajoutez y 50g de beurre fondu (attention à ne pas le verser trop chaud dans les oeufs pour ne pas qu’il les fasse cuire) et mélangez bien. Enfin, ajoutez le buttermilk dans la préparation des oeufs et du beurre fondu. Versez ensuite petit à petit cette préparation dans le saladier qui contient la farine. Si il reste des petits grumeaux, laissez les, ils participeront à rendre la pâte plus épaisse. Si vous n’aimez pas les pancakes épais, fouettez la pâte au batteur éléctrique.

Et voilà ! Laissez la pâte reposer une heure ou deux et ensuite il est temps de faire cuire vos pancakes. C’est une astuce toute simple de remplacer le lait par du buttermilk mais le rendu est totalement différent, et je trouve, bien meilleur 😉

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POULET AU BEURRE INDIEN appelée aussi poulet makhani ou encore butter chicken

Voici la recette du poulet au beurre, appelée aussi poulet makhani ou encore butter chicken.

C’est un plat typique de la cuisine indienne.

 C’est une recette douce et épicée …

poulet indien

INGRÉDIENTS

  • 3 cuillères à table beurre clarifié (40 g)
  • oignon haché finement (200 g)
  • 1/4 cuillère à thé cannelle moulue (1 g)
  • 2 cuillères à thé gingembre frais râpé (10 g)
  • gousse d’ail écrasée
  • gousses de cardamome
  • 1 cuillère à thé curcuma moulu
  • 1/2 piment rouge séché, émincé
  • poitrines de poulet désossées, coupées en cubes (600 g)
  • 1 cuillère à table pâte de tomates (15 ml)
  • 1/4 tasse amandes moulues (20 g)
  • 1/2 tasse tomate en conserve (125 g)
  • 1/2 tasse yogourt nature 2 % (125 g)
  • 1/4 tasse crème 15% (65 ml)
  • 3 cuillères à table coriandre fraîche (facultatif)
  • 1 1/3 tasse riz (240 g)

PRÉPARATION

ÉTAPE 1

Dans une grande poêle, faire sauter l’oignon dans le beurre 3 minutes à feu moyen-élevé. Ajouter la cannelle, le gingembre, l’ail, les gousses de cardamome, le curcuma et le piment rouge.

Cuire le tout une minute en brassant.

ÉTAPE 2

Ajouter les cubes de poulet et faire sauter jusqu’à ce qu’ils perdent leur couleur rosée. Ajouter la pâte de tomates, les amandes et les tomates en conserve.

Bien brasser, couvrir, baisser le feu et mijoter jusqu’à ce que le poulet soit tendre, environ 25 minutes.

ÉTAPE 3

Entre-temps, dans un petit bol, bien mélanger le yogourt et la crème.

Ajouter ce mélange à la poêle en toute fin de cuisson et chauffer encore quelques minutes sans laisser bouillir.

Saler au goût et retirer les gousses de cardamome.

ÉTAPE 4

Garnir de feuilles de coriandre si désiré et servir sur un lit de riz étuvé ou un riz basmati.

DIY : huile de massage anti mal de dos — Alternaturelle

Aujourd’hui je vous propose une petite préparation naturellesimple et efficace pour soulager vos maux de dos.

huile de massage

L’huile essentielle de menthe poivrée soulage rapidement les douleurs musculaires. Cette HE puissante peut être irritante lorsqu’elle est appliquée directement sur la peau. Il est donc fortement conseillé de la diluer dans une huile végétale avant application.

Pour réaliser votre huile de massage, mélangez 5 gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée dans 2 cuillères à soupe d’huile végétale de jojoba.
Personnellement j’utilise l’huile de jojoba mais d’autres huiles végétales peuvent être utilisées (huile de noisette, huile d’olive…).

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Répulsifs et anti-fongiques — Mon potager du Haut-Doubs

Traitements préventifs

Purins

Les purins sont des décoctions fermentées de la partie feuillue de plantes. Le plus connu est le purin d’ortie mais il en existe un très grand nombre et chacun à son utilité. Pour l’utiliser comme répulsif ou antifongique, on le pulvérisera sur la plante, dilué à 1/20 pour la plupart. Attention ils sont très concentrés, il ne faut jamais les utiliser purs au risque de tuer la plante. Non dilués, ils font d’ailleurs de très bons désherbants.

Pour les réaliser facilement allez voir cet article.

A noter également que toutes ces plantes peuvent aussi s’utiliser en paillage directement sur le sol (non séché). En se décomposant, ils vont nourrir le sol et selon la plante, agir comme répulsif.

  • Absinthe : répulsif à limace
  • Consoude : s’utilise surtout en arrosage durant la fructification de la plante, riche en potasse, azote et bore
  • Fougère : Très bon répulsif à pucerons (pur), répulsif contre le taupin de la pomme de terre (dilué). Mais il tue les limaces et les escargots, il faut donc éviter de l’utiliser
  • Ortie : En arrosage il agit comme activateur de croissance. riche en azote et potassium. En pulvérisation c’est un anti-pucerons, anti-acariens, et carpocapse et il renforce également le système immunitaire. Je l’utilise régulièrement en arrosage mais aussi en pulvérisation dans ce but. Les plantes poussent plus vite et sont plus résistantes.
  • Pissenlit : Uniquement en arrosage. S’utilise pour activer la croissance de la plante. Riche en acide salycilique, potassium et éthyne (se dilue à 1/5)
  • Prêle : riche en silice, il renforce les défenses immunitaires de la plante. Contre le mildiou, l’oïdium, la rouille, la moniliose, la cloque…,
  • Rhubarbe : répulsif à pucerons, chenilles, limaces, contre la teigne du poireau
  • Tanaisie : contre la mouche du chou
  • Sureau : repousse les pucerons, altises et noctuelles, contre les taupes, rongeurs, campagnols… contre la rouille, le mildiou ou l’oïdium

 

Bouillie bordelaise

Le sulfate de cuivre est un traitement uniquement préventif contre les maladies telles que le mildiou. Malgré son origine naturelle, c’est un produit lourd, accepté en agriculture biologique mais qui laisse des traces de cuivre dans le sol. Ce métal est un polluant, toxique pour la plupart des micro-organismes présents dans le sol. En permaculture, on préfèrera utiliser des traitement sans aucun impact sur l’environnement et la biodiversité. Je ne peux donc que vous recommander de ne pas l’utiliser.

 

Savon noir

C’est une solution totalement naturelle et respectueuse de l’environnement pour lutter contre divers insectes. Mais je dois rappeler encore une fois que l’éradication d’une espèce de ravageurs n’est pas une solution « perma » car pas durable, et cela dérègle l’écosystème qu’on s’efforce à créer. Les pucerons permettent de nourrir des insectes prédateurs, et il est important d’en avoir dans son jardin pour maintenir l’équilibre.

Si toutefois vous faites face à une attaque d’une grande ampleur mettant en danger la plante, vous pouvez l’utiliser en dernier recours.

Recette :

  • 3 C à S de savon noir liquide
  • 1L d’eau

Pulvériser sur la plante, faire un deuxième passage 48h après

Utilisation : contre les pucerons, les acariens, les mouches, la cochenille, la piéride du chou et les altises.

A noter qu’il peut aussi s’utiliser comme agent mouillant dans une autre pulvérisation (purin, décoction…) : 1cc par litre

 

Traitements curatifs

Bicarbonate de soude

C’est un produit « miracle » totalement naturel qu’il est bon d’avoir chez soit. Il peut s’utiliser pour le ménage, la cuisine, la toilette, mais aussi au jardin. C’est entre autres un antifongique naturel et très puissant que je dégaine dès qu’une attaque de mildiou pointe le bout de son nez. On l’utilisera toutefois avec parcimonie, ou de façon exceptionnelle. En surdose il peut ralentir la croissance des plantes, et peut déséquilibrer le sol en créant des carences de calcium et magnésium. Si on est amené à en faire une utilisation importante, on peut le remplacer par du bicarbonate de potassium.

Ce traitement a plus d’efficacité en début de maladie.

Recette :

  • 5g de bicarbonate de soude max
  • 1 L d’eau
  • 1 cc de savon noir

Utilisation : contre le mildiou, ou l’oïdium, la rouge, les taches noires du rosier…

A noter : attention en pulvérisation sur des tomates en cours de fructification, le bicarbonate endommage les fleurs.

 

Ail (décoction)

Encore un anti-fongique naturel. Il peut s’utiliser sur toutes vos plantes au potager mais aussi sur les arbres fruitiers et sur les rosiers. C’est également un répulsif pour les pucerons et les acariens.

C’est probablement mon traitement curatif préféré. Il sent bon (j’adore l’ail), il est facile à faire, et vraiment efficace. En plus, on peut l’utiliser sans modération car il n’a aucun impact sur la micro-faune !

Recette :

  • 2 gousses d’ail
  • 1L d’eau
  • 1 cc de savon noir (à ajouter lorsque le mélange est froid)

Hacher l’ail. Faire bouillir 10 min et laisser refroidir. Mixer, filtrer et pulvériser sur le feuillage et au pied de la plante. Renouveler le traitement tout les 3 jours.

Utilisation : Mildiou, cloque, rouille, moniliose. Il est aussi efficace en traitement préventif contre la fonte des semis (à arroser au pied dans ce cas là).

A noter : Cette préparation ne se conserve que quelques jours

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Alimentation paléo, de quoi s’agit-il? — Timothé Breton

Il s’agit d’une alimentation inspirée de nos ancêtres du paléolithique. Le paléolithique c’est la période de l’histoire ou l’homme avait un mode de vie chasseur-cueilleur. Cette période a pris fin, il y a environ 10 000 ans, au néolithique, lorsque l’homme a commencé à faire de l’agriculture et de l’élevage (Gurven et Kaplan. 2007).

Il se peut que certains d’entre vous s’imaginent que les hommes préhistoriques étaient très différents de nous. Qu’ils étaient plus proches du singe que de l’homme actuel. Qu’ils ne vivaient pas plus de 20 ans. Qu’ils étaient laids, poilus et peu intelligents. Sachez que cette image n’est aucunement fondée. En fait, l’homme et la femme paléolithique seraient probablement considérés selon nos critères actuel comme étant la représentation même de la beauté, de la forme physique, de l’intelligence et de la santé (Mark Sisson. 2012; Chauveau et al. 2013). De plus, l’espérance de vie de ces hommes pourrait être de 70 ans (Gurven et Kaplan. 2007; Mark Sisson. 2010), et contrairement à nous, il restait en forme toute leur vie (Gurven et Kaplan. 2007; Mark Sisson. 2012). L’homme du paléolithique supérieur a pratiquement le même génome que nous (Chauveau et al. 2013). Depuis, 300 000 ans (Hublin et al. 2017), notre espèce homo sapiens n’a pas évolué génétiquement de manière significative (Chauveau et al. 2013; Eaton et Eaton. 2000).

Sur nos 300 000 ans d’existence, cela fait uniquement 10 000 ans voir juste 5000 ans (Gurven et Kaplan. 2007) que l’on s’alimente majoritairement de céréales, donc de glucides. Pendant 99% de notre existence, notre alimentation était plutôt basée sur les lipides et les protéines avec un peu de glucides. Mais, cela a changé drastiquement et notre alimentation est maintenant presque exclusivement glucidique (Chauveau et al. 2013; Riccardo Baschetti. 2004). D’ailleurs, le néolithique marque le moment de l’histoire où les archéologues ont remarqué l’apparition d’indices sur les fossiles laissant présager que les hommes à cette époque souffraient de caries dentaires, de malnutrition, de certaines formes de cancers et manifestaient une forme physique beaucoup plus faible que précédemment (Chauveau et al. 2013). Au constat, une espérance de vie beaucoup plus faible et une diminution moyenne de la taille de l’homme de 10 cm (Chauveau et al. 2013). Les maladies de civilisation sont nées à cette époque : cancers, alzheimer, parkinson, diabète, surpoids, allergies, fatigue chronique, maladies cardiovasculaires, carie dentaire, coronaropathie, hypertension et autres… (Chauveau et al. 2013; Lindeberg et al. 2003; Eaton et al. 2000; O’Keefe et Cordain. 2004). Depuis, l’ère industrielle, ces problèmes sont d’autant plus exacerbés étant donné l’abondance d’additifs alimentaires, de sucres ajoutés, de pesticides et autres toxines (Chauveau et al. 2013), et ce, sans parler de notre sédentarité et de nos mauvaises habitudes de vie (Chauveau et al. 2013).

Notre génome n’est tout simplement pas fait pour cette alimentation glucidique et notre mode de vie peu actif. Il est fait pour vivre en nature tel un chasseur-cueilleur. C’est seulement ainsi que notre génome pourra exprimer son plein potentiel. Nous sommes programmés pour être en santé, en forme et heureux!

Ceci nous mène à nous poser les questions suivantes : comment vivait un chasseur cueilleur? Et, comment adapter ce mode de vie à la réalité d’aujourd’hui?

Ces questions seront abordées plus en profondeur dans mes prochains articles, mais voici en résumé quelques pistes à considérer.

Premièrement, réduisez fortement les glucides de votre alimentation en utilisant au besoin une table de valeurs des indices glycémiques des aliments (facile à trouver sur le web). Choisissez les aliments à faible indice glycémique (50 et moins). Ne mangez plus de produits céréaliers. Ne mangez plus de légumineuses et de pommes de terre. Augmentez les lipides (en évitant les gras trans et en choisissant les bons gras, tel l’huile d’olive, de colza, d’avocat et de noix de coco) dans votre alimentation. Mangez des légumes et des fruits (à faible indice glycémique, tels les petites baies) en abondance. Éviter tous les aliments transformés. Évitez aussi les produits laitiers et dans la mesure du possible choisissez des aliments provenant de l’agriculture biologique.

Un bon exercice pour déterminer si l’aliment est paléolithique est de s’imaginer dans la nature en train de chercher à vous alimenter. Quels seront alors les aliments à votre disposions?

En règle générale, si ça se cueille ou se chasse, c’est un aliment bon pour vous!

Oubliez les recommandations du guide alimentaire canadien ou provenant de toute autre figure d’autorité. Ne faites confiance qu’à vous-même! Expérimentez ce mode alimentaire et écoutez ce que votre corps vous dit ou parfois vous crie!

Si vous avez une bonne alimentation, 80% du travail est accompli pour obtenir une bonne santé, le 20% qui reste demeure tributaire de vos activités physiques (Mark Sisson. 2012).

Les activités paléo ne se pratiquent généralement pas dans une salle d’entraînement, mais plutôt à l’extérieur. Ce sont des exercices fonctionnels qui impliquent le travail de plusieurs muscles en simultané. Nos ancêtres marchaient entre 10 et 20 km par jour (Chauveau et al. 2013; O’Keefe et Cordain. 2004) et faisaient des exercices de faible intensité la majorité du temps (Mark Sisson. 2012). Par moments seulement, ils s’adonnaient à des activités de forte intensité, tels courir un sprint, soulever un objet lourd, sauter, grimper, etc. (Mark Sisson. 2012; O’Keefe et Cordain. 2004). Le jogging ne fait pas partie des exercices paléo car cela peut causer un épuisement chronique, engendrer un stress et mener à des blessures ou de l’inflammation (Mark Sisson. 2012). Il vaut également mieux éviter le surentraînement et l’entraînement d’un muscle spécifique (Mark Sisson. 2012).

Pour plus d’informations, je vous conseille le livre «Le Modèle Paléo» de Mark Sisson ou sa version originale (anglaise), portant le titre «The Primal Blueprint». Cet ouvrage décrit très bien ce qu’est le régime paléolithique et comment celui-ci pourrait changer votre vie.

 

Références :

Mark Sisson. 2012. Le modèle paléo. Édition Thierry Souccar. 278p.

Mark Sisson. 2010. Just How Long Did Grok Live, Really?. En ligne (consulté le 10/07/2017). http://www.marksdailyapple.com/bone-dating-life-span/#axzz2DHd5Wkzn

Riccardo Baschetti. 2004. The Ideal Diet Is the One Indicated by Evolution. Elsevier, doi:10.1016/j.amjcard.2005.01.034

Chauveau, Fouquec, Combea et Aparicioa. 2013. Evolution of the diet from the paleolithic to today: Progress or regress?. Elsevier, 9 : 4 ; 202-208.

Eaton et Eaton. 2000. Paleolithic vs modren diets-selected pathophysiological impluications. Eur J Nutr 2000;39:67–70.

Gurven et Kaplan. 2007. Longevity among hunter-gatherers: a cross-cultural examination. Population and development review 33(2) : 321–365 (june 2007)

Hublin, Ben-Ncer, Bailey, Freidline, Neubauer, Skinner, Bergmann, Le Cabec, Benazzi, Harvati et Gunz. 2017. New fossils from Jebel Irhoud, Morocco and the pan-African origin of Homo sapiens. Nature, 546 : 289–292. doi:10.1038/nature22336

Lindeberg, Cordain et Eaton. 2003. Biological and clinical potential of paleolithic diet. J Nutr Environ Med 2003;13:149–60.

O’Keefe et Cordain. 2004. Cardiovascular disease resulting from a diet and lifestyle at odds with our paleolithic genome : How to become a 21st-century hunter-gatherer. Mayo clin proc. 2004;79 :101-108

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Calmer l’irritation de l’anus

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Démangeaisons à l’anus : 9 astuces pour calmer l’irritation

Les démangeaisons de l’anus : ce qui ne va pas ?

Les démangeaisons anales sont un problème assez fréquent, donc vous devez parler à votre médecin, même si cela vous gêne un peu, car elle peut souvent être rapidement soulagée pour peu que l’on n’en connaissent l’origine.
La transpiration et la présence de sel humide peut être en cause, tout comme le frottement excessif ou les produits irritants (savon, lessive…). Les hémorroïdes et les fissures anales peuvent provoquer des démangeaisons, les infections aussi : parasitoses (comme l’oxyurose), surtout chez l’enfant, et infections mycosiques (candidose), notamment.
Il est important de savoir que ces démangeaisons sont moins souvent lié à un manque de propreté qu’à un nettoyage excessif (frottement intense avec les papiers hygiéniques), qui peut altérer l’état des muqueuses. Par ailleurs, si vous n’osez pas en parler au médecin ou pharmacien…

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Coups, entorses ou chocs ….

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Huile Essentielle d’Hélichryse italienne

– 2 à 3 gouttes en massage local, à renouveler 3 fois par jour .



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Super détachant maison 

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  •  875 gr d’eau bouillante

– 1 verre de cristaux de soude

– 1/4 de verre de savon noir 

– 1/4 de verre de bicarbonate de soude

– 3/4 de verre de vinaigre blanc

-Faire fondre les cristaux de soude dans l’eau bouillante 

-ajoutez les autres ingrédients , en mélangeant bien 

-finir par le vinaigre blanc  » prendre un récipient assez grand car le vinaigre et le bicarbonate font moussez « .

Laissez refroidir avant de mettre en flacon spray. 

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Remede naturel contre la transpiration, pensez à ces 9 points…

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Remede naturel contre la transpiration, pensez à ces 9 points…
potable
  • Buvez suffisamment d’eau à température ambiante (votre urine « pipi » doit être claire).
  • Epilez vous, les bactéries et levures ne pourront s’y développer dans l’humidité.
  • Ayez une hygiène irréprochable, lavez-vous. Une douche par jour avec un agent lavant et essuyez vous bien après.
  • Changez régulièrement de vêtements et de linge de toilette.
  • Portez des vêtements de couleur claire.
  • Choisissez des vêtements en matières naturelles: coton, soie, laine, lin, fibres végétales, en bambou.
  • L’été, portez des vêtements amples, laissant circuler l’air.
  • Détendez-vous: le stress est une grande cause de transpiration même si vous n’êtes pas une personne qui transpire facilement.
  • Trouvez une activité physique (ou plusieurs) apaisante telle que le yoga par exemple, cela apaisera votre stress, vous donnera de l’assurance et en plus vous serez en pleine forme.
Examinez un remede naturel contre la transpiration (ou plusieurs) parmi…

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Conserve de tomates séchées à l’huile

conserve de tomate

Ingrédients

Pour 1,500 kg de tomates

  • 2 cuill. à café de sel

  • 1 cuill. à café de sucre

  • 4 gousses d’ail

  • 4 feuilles de laurier

  • 2 branches de thym

  • 1 branche de romarin

  • Poivre et huile d’olive

 

Préparation

Ébouillantez et pelez les tomates.

Coupez-les en quatre et épépinez-les.

Recouvrez la plaque du four d’une feuille de papier aluminium.

Répartissez dessus la moitié du sel et du sucre, puis les herbes aromatiques et l’ail émincé.

Disposez les quartiers de tomates côte à côte, saupoudrez du reste de sel et de sucre, poivrez.

Enfournez dans le four préchauffé à 100 °C (th. 3) pendant 3 h.

Laissez refroidir. Placez les tomates avec les herbes et l’ail dans un bocal. Pressez pour chasser l’air et recouvrez d’huile d’olive. Fermez hermétiquement.

Poivrons poelés au vinaigre balsamique

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Ingrédients

poivrons rouges , verts ou jaune
sel , sucre
huile d’olive
vinaigre balsamique

 

Recette

Détailler vos poivrons en Julienne

Faire revenir dans un peu d’huile et saler

Les poivrons doivent être un peu croquants au moment de rajouter le vinaigre balsamique et le sucre pour les caraméliser un peu.

Poursuivre la cuisson quelques minutes et servir tièdes

Astuces

se conserve 2 à 3 jours au frais

Règles douloureuses : 6 remèdes de grand-mère

regles-douloureuses astucesdesteph

1. La bouillotte

C’est l’un des remèdes les plus répandus dans les chaumières. Se préparer une bonne bouillotte bien chaude et la placer sur la zone douloureuse pourra aider à apaiser votre souffrance. Loin d’être une solution miracle, la bouillotte permet de soulager, au moins un temps, la douleur par la chaleur apportée. Cependant, elle ne sera pas réellement efficace contre les douleurs intenses, ni les maux de têtes, les vertiges ou les douleurs dans le dos.

2. Se masser le ventre

Autre tactique, que l’on pratique finalement malgré nous, c’est de se masser là où l’on a mal, en l’occurence dans le bas ventre. Comme la bouillotte, ce n’est pas radical, mais cela permet d’avoir la sensation de contrôler la douleur et la rendre, ainsi, plus supportable.

3. Ne pas se recroqueviller

Contrairement à la plupart des filles qui ont mal au ventre, il ne faut pas se laisser tenter par la position fœtale. Malgré les a priori, elle ne soulagera pas du tout votre douleur, elle pourrait même l’intensifier. Il faut réussir à se détendre, et pour cela, rester sur le dos et les jambes tendue.

4. Prendre un bain chaud

Chaleur et détente sont essentielles pour réussir à faire passer le mal de ventre dû aux règles. Ainsi, un bon bain chaud vous permettra d’adoucir votre journée. Afin de complètement vous apaiser, sortez le grand jeu : bougies, mousse, musique… Tout pour oublier votre mal être.

5. La tisane de sauge

Cette technique est l’une des plus efficaces parmi les remèdes de grand-mère. La sauge a des vertus insoupçonnées pour soigner les douleurs abdominales. A prendre sous forme d’infusion, une à trois fois par jour et pas plus d’une semaine à la suite, la sauge est radicale et vous apaisera réellement.

6. L’orgasme

Enfin, c’est sans doute – après le bain – le remède le plus plaisant pour lutter contre les douleurs menstruelles. L’orgasme permet de détendre les muscles et apaise toutes les douleurs, qu’elles soient utérines ou autres. C’est l’une des nombreuses qualités insolites de la petite mort.

Si vous règles sont vraiment douloureuses au point d’en devenir insupportables, pensez à en parler à votre gynécologue, cela peut être le signe d’une condition plus sérieuse. C’est par exemple l’un des symptômes de l’endométriose qui touche, environ, une femme sur dix.

texte écris par  Cécile De Sèze Journaliste RTL