Stop au rhume, grippe, bronchite… avec les huiles essentielles ! — Miss & Mister Corail

Stop au rhume, grippe, bronchite… avec les huiles essentielles !

En cette période hivernale, un simple rhume peut nous gâcher la vie ! Contre les maux de gorge, la toux, la grippe ou la bronchite, les huiles essentielles sont des concentrés d’actifs naturels très puissants. Mais attention, celles-ci ne doivent pas être consommées par la femme enceinte, l’enfant de moins de 7 ans et les personnes asthmatiques, épileptiques ou soignées contre le cancer. Demandez toujours conseil à votre pharmacien avant d’utiliser des huiles essentielles.

Les huiles essentielles contre le rhume et le nez qui coule

Les huiles essentielles contre le rhume et le nez qui coule

La marjolaine à coquilles
Originaire de l’est du bassin méditerranéen, la marjolaine à coquilles était déjà populaire au Moyen Âge, où l’on croyait qu’elle portait chance et qu’elle soignait tout. Anti-infectieuse et fongicide, elle est préconisée pour soigner les problèmes respiratoires causés par le rhume. Elle est également utilisée pour lutter contre les rhumatismes, la fatigue, les sautes d’humeur mais aussi pour arrêter de fumer.

Le niaouli
Originaire du Pacifique Sud, le niaouli est très populaire en Nouvelle-Calédonie où il soigne les rhumes, les courbatures et les coups de froid. Proche de l’eucalyptus, le niaouli stimule les défenses immunitaires et est utilisé contre les otites, les rhinites et les sinusites. En cas de rhume ou de nez bouché, faire une inhalation d’huile essentielle de niaouli (environ 5 gouttes) dans un bol d’eau frémissante.

Par inhalation ou application cutanée
Mélanger 2 gouttes de marjolaine à coquilles et 2 gouttes de niaouli diluées dans de l’huile végétale. Il est également possible de déposer une goutte de chacune de ces deux huiles essentielles sur un mouchoir, à respirer profondément trois fois par jours pendant une semaine.

Les huiles essentielles contre la toux

Les huiles essentielles contre la toux

Le cyprès
Voici un arbre bien de chez nous. Le cyprès, conditionné en huile essentielle, est très efficace contre la toux. Il est simplement conseillé de diluer 5 gouttes du précieux nectar dans une cuillère à café d’huile d’amande douce puis de masser la poitrine et le haut du dos trois fois par jour. Chez les femmes, cette huile essentielle est également utilisée pour soulager les douleurs relatives aux règles.

Le sapin de Sibérie
Comme son nom l’indique, ce sapin est originaire de Sibérie. Très rustique, il est l’espèce de sapin la plus répandue dans cette région au climat difficile, où il peut vivre jusqu’à 200 ans. C’est un excellent décongestionnant des voies respiratoires. En fluidifiant les mucosités et en facilitant l’évacuation des glaires, il lutte efficacement contre la bronchite. C’est également un très bon purificateur d’air.

Par voie orale ou en application cutanée
Ajouter 1 goutte de cyprès, 1 goutte de sapin de Sibérie et 4 gouttes d’huile végétale d’amande douce sur un cachet neutre, 3 fois par jour pendant une semaine.

Les huiles essentielles contre la grippe

Les huiles essentielles contre la grippe

L’Eucalyptus radié
Originaire d’Australie, l’Eucalyptus radié est le mets favori des koalas. C’est l’huile essentielle que l’on associe par excellence aux troubles respiratoires. Il agit ainsi contre le rhume, la grippe, la bronchite, la sinusite, l’otite et fait baisser la fièvre. En cas de nez bouché, ajouter 5 gouttes d’huile essentielle d’Eucalyptus radié dans un bol d’eau frémissante et respirer en inhalation pendants dix minutes.

Le ravintsara
Originaire d’Asie et notamment du Japon, le ravintsara est un cousin du camphrier. On raconte que c’est le premier arbre à avoir repoussé après le bombardement atomique sur Hiroshima. C’est aussi un arbre emblématique de Madagascar et de l’île de La Réunion. Le ravintsara un excellent antiseptique respiratoire. On l’utilise contre la grippe, les bronchites et diverses allergies respiratoires. Diffusé en intérieur, il est même capable d’assainir l’air.

Par voie orale, inhalation et application cutanée
Ajouter 1 goutte de ravintsara sur un cachet neutre, 6 fois le premier jour puis 4 fois par jour pendant 5 jours. Mélanger 10 gouttes de ravintsara et 10 gouttes d’Eucalyptus radié dans un diffuseur. Respirer pendant 10 minutes, 3 fois par jour.

Les huiles essentielles contre la bronchite

Les huiles essentielles contre la bronchite

L’eucalyptus globuleux
Originaire d’Australie, l’eucalyptus globuleux a été découvert à la fin du XIXe siècle par le naturaliste français Labillardière. C’est l’huile essentielle dédiée à la bronchite. Pour combattre la toux grasse, il suffit de diluer une goutte de cette huile dans une tisane de thym avec du miel. L’eucalyptus globuleux est aussi préconisé contre le rhume, la grippe et la sinusite.

Le romarin à verbénone
Symbole de triomphe chez les Grecs et les Romains, le romarin à verbénone est originaire de Corse et s’est répandu dans tout le bassin méditerranéen. C’est un ennemi juré de la toux, de la sinusite, mais surtout de la bronchite. Pour contrer cette dernière, mélanger 5 gouttes d’huile essentiel dans une cuillère à soupe d’huile végétale d’amande douce et masser le haut du dos, le thorax et la plante des pieds, trois fois par jour pendant une semaine.

Par application cutanée
Mélanger 3 gouttes d’eucalyptus globuleux, 3 gouttes de romarin à verbénone, 3 gouttes de sapin de Sibérie et 10 gouttes d’huile végétale de calophylle. Masser le haut du dos, le sternum et les plante des pieds 4 fois par jour pendant une semaine.

Les huiles essentielles contre l_angine, les maux de gorge et la rhinopharyngite

Les huiles essentielles contre l’angine, les maux de gorge et la rhinopharyngite

L’arbre à thé
Originaire d’Australie, l’arbre à thé doit son nom à ses découvreurs qui le consommaient comme substitut du thé à la fin du XVIIIe siècle. Utilisé par les Aborigènes à des fins médicinales, l’arbre à thé se voit réquisitionner durant la Seconde Guerre mondiale pour soigner les soldats blessés. Outre ses vertus désinfectantes, cette huile est redoutable contre le mal de gorge. Pour cela, mélanger 3 gouttes d’arbre à thé et 2 gouttes d’huile végétale de calophylle puis masser les ganglions du cou trois fois par jour.

La sarriette des montagnes
Egalement appelée sarriette vivace ou sarriette d’hiver, la sarriette des montagnes est une petite plante vivace originaire de Méditerranée. Connue depuis l’Antiquité, on lui attribue au fil du temps des vertus alimentaires, aphrodisiaques et médicinales. Anti-infectieuse, antivirale, antibactérienne, anti-parasitaire, la sarriette des montagnes est efficace pour soigner l’angine. Pour cela, ajouter 2 goutes d’huile essentielle sur un comprimé neutre à consommer 3 fois par jour pendant 8 jours.

Par voie orale ou application cutanée
Ajouter 1 goutte d’arbre à thé, 1 goutte de sarriette des montagnes et 4 gouttes d’huile végétale d’amande douce sur un cachet neutre. A sucer toutes les 2 heures le premier jour puis 4 fois par jour pendant 3 jours.

Les huiles essentielles contre la sinusite

Les huiles essentielles contre la sinusite

Le cèdre de l’atlas
Originaire d’Afrique du Nord, le cèdre de l’atlas compose aujourd’hui de très belles forêts en France. Très résistant aux insectes, il fait partie des bois sacrés du temple du roi Salomon à Jérusalem. C’est un excellent revitalisant pour la peau et le cuir chevelu. Il est également réputé pour dégager les voies respiratoires et combattre la toux sèche. Pour cela, mélanger 3 gouttes d’huile essentielle dans 8 gouttes d’huile végétale d’amande douce puis masser le thorax et la plante des pieds, matin et soir pendant une semaine.

La menthe poivrée
Célébrée depuis l’Antiquité, la menthe poivrée est aujourd’hui répandue dans le monde entier. On lui attribue de nombreuses vertus : apaiser les chocs et les traumatismes, favoriser la digestion, stopper les démangeaisons, combattre l’herpès mais surtout soigner les maux de tête. Pour cela, il suffit de déposer 1 goutte d’huile essentielle de menthe poivrée sur les tempes et les sinus frontaux.

Par voie orale, inhalation ou application cutanée
Mélanger 1 goutte de cèdre de l’atlas, 1 goutte de menthe poivrée, 2 gouttes d’arbre à thé et 1 goute d’huile végétale de calophylle. Appliquer sur les sinus frontaux pendant 7 jours.

Les huiles essentielles contre l_extinction de voix

Les huiles essentielles contre l’extinction de voix

L’Eucalyptus citronné
Originaire d’Australie, l’eucalyptus citronné est un arbre qui dans la nature peut atteindre jusqu’à 50 mètres de haut. Il est très populaire à Madagascar, où il est sensé soigner le paludisme. Conditionné en huile essentielle, il est conseillé pour soulager les extinctions de voix et stimuler les cordes vocales. Mais pas seulement. On l’utilise également contre le stress et l’anxiété, les douleurs musculaires et les rhumatismes. L’Eucalyptus citronné est encore un excellent répulsif contre les moustiques.

Le lemongrass
Egalement appelé verveine des Indes, le lemongrass est une herbe vivace très répandue en Asie. Il doit son nom à ses feuilles qui dégagent un fort parfum citronné. Grâce à ses propriétés calmantes et sédatives, le lemongrass agit contre l’anxiété, les troubles du sommeil et le déséquilibre du système nerveux. On le juge également efficace pour éclaircir la voix, alléger les jambes lourdes ou gonflées et agir contre la cellulite.

Par voie orale (en cachet)
Appliquer 1 goutte d’eucalyptus citronné, 1 goutte de lemongrass et 6 gouttes d’huile végétale d’amande douce sur un comprimé neutre. A sucer 3 à 4 fois par jour pendant 4 jours.

© Miss & Mister Corail / DR

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Marcher, une solution contre le mal de dos — Culture Marche

Marcher, une solution contre le mal de dos

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Le mal de dos est l’un des fléaux de notre temps. La lombalgie appelée plus couramment mal de dos, tour de rein, ou lumbago, est une douleur intense au niveau des vertèbres lombaires qui laisse souvent une sentiment de blocage désagréable.

Certains mouvements peuvent être à l’origine d’une lombalgie, mais c’est souvent ce que l’on appelle ‘faux mouvements’, c’est à dire des gestes de la vie quotidienne, qui vont venir perturber notre quotidien. La lombalgie commune, par opposition aux lombalgies spécifiques, liées à des maladies comme une scoliose, une fracture d’une vertèbre ou autre infection à la colonne vertébrale, est la plus répandue. On retrouve plusieurs facteurs favorisant la lombalgie commune :

  • L’âge : Il existe un phénomène d’usure, alors même que la sédentarité engendre des problèmes chez les jeunes.
  • La sédentarité : L’absence d’activité engendre un relâchement des muscles qui fini par les affaiblir.
  • De mauvaises postures
  • Une activité physique trop intense ou à répétition
  • L’inactivité physique

Dans le cas d’une lombalgie, il est bien sûr essentiel de soulager la douleur mais il est aussi important de maintenir ou reprendre une activité physique. Ne pas bouger pourrait contrairement à ce que l’on pourrait penser, accentuer la douleur et en plus vous rendre plus faible. L’objectif est donc de bouger progressivement et d’améliorer régulièrement son activité. La marche est recommandée dans un tel cas. Parce qu’elle renforce les muscles dans le bassin et le bas du dos et parce que le mouvement vers l’avant du corps réduit la force de gravité sur le dos, il vaut mieux marcher que rester debout en position statique.

La marche à pied sollicite les plus gros muscles du corps que l’on retrouve dans les jambes, ce qui va permettre une bonne circulation sanguine. Elle sollicite également les abdominaux et les muscles du dos. Des muscles essentiels pour assurer une bonne protection de la colonne vertébrale et éviter une usure prématurée. Marcher régulièrement permet aussi de travailler sa posture. Etant donné que l’on peut facilement adapter son rythme et ses possibilités, pourquoi s’en priver ?

L’Assurance maladie a lancé récemment l’application Activ’Dos, véritable coach pour prévenir le mal de dos mais également pour agir en cas de douleur.

 

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Recette : Boeuf Bourguignon de la grand mère — Mon partage d’expériences

Recette : Boeuf Bourguignon de la grand mère

Ingrédients (5 personnes):
– 1 bouteille de vin rouge
– 2 tranches de lard fumé détaillées en lardon épais
– 2 oignon
IMG_20170204_134223.jpg– 5g de beurre demi sel
– 1kg de boeuf à bourguignon détaillé en morceau de 5 cm (paleron, gite, joue, …)
– 1 cs de concentré de tomate
– 1 cs de farine
– 600g de champignons de paris
– 1kg de carottes
– 1 bouquet garni

Si possible faire mariner le boeuf la veille dans le vin avec un oignon coupé en 4 et le bouquet garni
1) Dans une cocotte en fonte mettre à dorer les lardons et les oignons émincés avec un fond de beurre. Laisser revenir 5 minutes;
2) Ajouter le bœuf pour faire dorer chaque face, puis retirer les morceaux;
3) Ajouter le concentré de tomate et la farine pour faire un roux. Ajouter progressivement le vin rouge pour que la sauce épaississe lentement;
4) Remettre le bœuf dans la sauce et laisser mijoter à feu moyen;
5) Au bout de 30 minutes ajouter les champignons de paris coupés en 4;
6) Laisser mijoter 45 minutes puis ajouter les carottes coupées en bâtonnets. Laisser à nouveau mijoter 45 minutes.

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Gommage corporel super hydratant — Les Marottes

Il permet d’exfolier la peau et de la débarrasser de ses cellules mortes, le gommage corporel est un allié formidable pour garder la peau douce et satinée. En toute saison, gommer sa peau est un geste beauté à adopter dans sa routine soin du corps.

Voici ma recette home made 100% cocooning : le « gommage super hydratant » ! Au beurre de karité, huile de coco et huile d’amande douce, ce gommage est idéal en hiver et parfait pour régénérer la peau en douceur.

Avec le beurre de karité, l’huile de coco et l’huile d’amande douce, la peau est assouplie, nourrie et protégée. Tous trois sont des produits naturels aux vertus très hydratantes, pouvant être utilisés sur l’ensemble du corps.

Riche en vitamines et minéraux, le beurre de karité favorise le renouvellement cellulaire et contribue notamment à améliorer l’aspect des rides, vergetures, cicatrices et autres imperfections.

L’huile d’amande douce est particulièrement riche en vitamines A, B1, B2, B6 et E. Elle prévient du dessèchement et apaise les peaux irritées. Tout comme le beurre de karité, elle prévient l’apparition des rides et vergetures. L’huile de noix de coco est quant à elle un apaisant naturel aux utilités multiples.

En plus des propriétés hydratantes, j’ai voulu réaliser un gommage à la texture légère en fouettant les différents ingrédients. Mélangés à la texture gourmande du sucre roux, ce gommage est vraiment parfait. Et pour une senteur agréable, je combine l’huile de noix de coco avec de la vanille.

C’est beau, ça sent bon, c’est efficace.

Réalisation

Pour réaliser le gommage super hydratant, il faut :

Pour les quantités, allez-y au feeling.

J’ai pris environ une cuillère à soupe pour le beurre de karité et l’huile coco, 40g de sucre roux et 25 ml d’huile d’amande.  Avec ces proportions, la texture est déjà très riche mais quand même fluide. Si vous décidez de mettre plus d’huile d’amande, la texture sera encore plus souple. Inversement si vous mettez plus de beurre de karité ou d’huile de coco.

Fouettez d’abord le beurre de karité avec les grains d’une gousse de vanille.

Fouettez ensuite l’huile de noix de coco.

Ne reste plus qu’à assembler le tout dans un pot en verre. Commencez par déposer le beurre de karité au fond, puis ajoutez une couche d’huile de noix de coco fouettée, recouvrez de sucre roux et ajouter enfin l’huile d’amande douce jusqu’à arriver au même niveau que le sucre.

Vous pouvez garder votre gommage avec les couches superposées, avant de tout mélanger pour la première utilisation !

Une fois par semaine, gommez votre corps sous la douche, sur peau humide. Insistez sur les zones rugueuses et rincez abondement. Pas la peine d’utiliser une crème hydratante en sortant de votre douche, c’est déjà fait ! Votre peau est nette, soyeuse, et en plus, elle sentira bon toute la journée !

Je vous souhaite de bons moments avec votre nouveau gommage préféré !

Bonne réalisation !

Soupe à la courge et à la patate douce — Mon Totem

Il pleut, il pleut, et ça ne s’arrête plus! Il est temps de vite rentrer se mettre au chaud et de se préparer une bonne soupe. Rien de mieux que la courge butternut et la patate douce pour apporter un peu de douceur et d’onctuosité à nos soirées hivernales et aussi pour se réchauffer. Découvrez la recette très facile à réaliser ci-dessous avec quelques ingrédients. Pour les plus busy, vous pouvez préparer la soupe le dimanche soir et en boire un bol bien chaud chaque soir de la semaine.

recette curry icones

courge butternutLes courges sont une très bonne source de vitamine A. Elles nous protègent des infections, favorisent notre vision, contribuent à la croissance de nos os et de nos dents. Elles maintiennent également notre peau en bonne santé et jouent un rôle antioxydant. Les courges seraient également bénéfiques pour les personnes diabétiques.

 

patates doucesLes patates douces ont également de nombreux bienfaits. Riche en bêta-carotène comme la courge, la patate douce est excellente pour la peau. On y trouve également des effets bénéfiques pour le système immunitaire ainsi que pour notre mémoire. Elle contribue également à garder une pression artérielles basse.

Ingrédients

Les ingrédients soupe butternut

  • 1 courge butternut (également appelée doubeurre)
  • 2 patates douces
  • 1 oignon
  • 2 gousses d’ail
  • 40 cl de crème liquide au soja
  • 2 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • 3 pincées de sel et de poivre
  • Une pincée de graines de sésame
  • Une pincée de graines de tournesol

Préparation

Nous commençons par éplucher notre oignon et les deux gousses d’ail. Nous allons ensuite couper finement l’ensemble. Nous utilisons toujours notre planche de marbre qui est pratique et saine pour couper les aliments ainsi que notre couteau Kyocera qui coupe parfaitement sans résistance ce qui sera bien pratique pour découper la courge ensuite.

epluchure oignon ail

Nous ajoutons ensuite l’huile d’olive dans notre casserole ainsi que l’oignon haché et l’ail. Nous laissons mijoter le tout pendant plusieurs minutes jusqu’à que ce soit un peu doré. Et nous remuons l’oignon et l’ail de temps à autre.

oignons et huile

Nous découpons ensuite la courge. Pour cela, nous commençons par couper la courge en rondelle. Puis nous l’épluchons et nous coupons la courge en morceaux assez gros que nous allons mettre dans la casserole.

courge-dc3a9coupe.jpg

Nous ajoutons les morceaux petits à petits dans la casserole jusqu’à ce que la courge entière vienne remplir la casserole. Puis, nous allons mettre à cuire à feu doux. Nous venons remuer doucement pour s’assurer que rien ne brûle.

courge casserole

patates douces casseroleNous allons maintenant éplucher les deux patates douces. Nous les coupons également en cubes puis, nous les ajoutons à la préparation. Nous continuons à mélanger tranquillement toutes les cinq minutes environ pour que tous les ingrédients cuisent uniformément. Nous commençons à sentir une bonne odeur de courge dans la cuisine qui est très agréable. L’oignon et l’ail vont également venir relever la soupe. Si vous avez peu de temps devant vous, n’hésitez pas à couper les légumes plus petits afin qu’ils puissent cuire plus rapidement.

 

 

 

Nous venons maintenant ajouter 40 cl de crème liquide au soja dans notre casserole. La crème va permettre de donner une touche onctueuse à la soupe mais aussi de lui donner son côté liquide. La crème de soja est idéale pour les végétariens, elle est également plus facile à digérer que la crème liquide au lait de vache.

crème liquide soupe.png

sel poivreNous ajoutons simplement dans la casserole du sel de guérande moulu ainsi que du poivre de Madagascar qui vont réhausser le goût de la soupe. Voilà, tous nos ingrédients sont maintenant réunis, il ne reste plus qu’à laisser mijoter tranquillement pendant une bonne demi-heure. Nous venons mélanger régulièrement tous les ingrédients dans la casserole.

Etape cuisson soupe

Lorsque nos légumes sont cuits et ramollis, nous utilisons le mixeur pour faire notre soupe comme ci-dessus. Nous ajoutons un peu d’eau afin que l’aspect soit plus liquide. Vous pouvez doser comme vous le souhaitez et selon votre goût. N’hésitez pas à rajouter du sel ou du poivre si vous pensez qu’il n’y en a pas assez.

Maintenant que la soupe est prête, nous allons la servir dans de petits bols chinois avec des graines de tournesol et des graines de sésame au-dessus pour ajouter du croquant. Cette soupe est à déguster bien chaude. Vous en aurez facilement pour quatre personnes.

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via Soupe à la courge et à la patate douce — Mon Totem

Pâte à modeler comestible — Pinkcappuccino

Pâte à modeler comestible

Faire de la pâte à modeler est simple et faisable (en partie) avec les enfants ! Voilà l’activité parfaite pour les occuper un mercredi d’hiver !


Ingrédients :

  • 170 gr de farine
  • 60 gr de sel
  • 11 gr de bicarbonate de soude
  • 1 c. à café d’huile d’arachide
  • 200 ml d’eau chaude
  • Colorants


Marche à suivre :

  1. Dans une casserole, mélanger la farine, le sel et le bicarbonate. 
  2. Ajouter l’eau et l’huile et mélanger au fouet. 
  3. Mettre la casserole sur un feu élevé et remuer sans cesse jusqu’à ce que la pâte se décolle des parois (très rapide). 
  4. Déposer la pâte à refroidir au frais durant une demi-heure.
  5. Séparer la pâte pour la colorer de plusieurs couleurs. Les colorants liquides ou en poudre conviennent de manière égale. Ajoutez autant de colorant que vous désirez pour obtenir la couleur de vos rêves. 
  6. Tout est prêt, il suffit de jouer ! 
  7. Conserver au frigo, dans une boîte hermétique.

Quelles formes aimez-vous faire ? Dites-moi tout en commentaires !

  • Des escargots : 
  • des bonhommes à deux couleurs
  • des bonhommes de neige,
  • des chenilles 
  • des formes à l’emporte-pièce à biscuits,
  • etc.

 

Recette originale (Valentine? La reine des tartines)

via Pâte à modeler comestible — Pinkcappuccino

Smoothie banane par » il étais une fois la pâtisserie « 

Smoothie banane {recette facile}

Le smoothie banane, c’est tout simple : on place les ingrédients dans le mixeur, on mixe et c’est prêt ! C’est donc une boisson vraiment rapide et facile à réaliser, délicieuse et très douce.
Alors j’entends les puristes d’ici (oui, oui, je sais qu’il y en a parmi vous ;)) : « Il n’y a pas de lait dans un smoothie ! » Je sais ! On est bien d’accord, un vrai smoothie, ce serait uniquement avec de la banane et du jus de banane, mais c’est tellement meilleur avec du lait…
A ce propos, je fais le point en fin d’article sur les différences entre smoothiemilk-shake et granité, comme ça, plus de confusion 😉

smoothie banane


Temps de préparation : 5 mn / Temps de cuisson : 0 mn / Total : 5 mn

MATÉRIEL NÉCESSAIRE : 
Pour le matériel, vous aurez bien sûr besoin d’un mixeur ou, le top pour les jus et smoothies, un blender.
Vous pouvez consulter tout mon matériel recommandé ici.

Ingrédients pour 2 smoothies :

  • 1 banane (bien mûre de préférence)
  • 250 ml de lait (demi-écrémé pour ma part)
  • 1 cuillère à soupe de cassonade
  • 1 cuillère à café d’extrait de vanille liquide

Préparation :
Coupez la banane en morceaux et placez tous les ingrédients dans le mixeur. Pour que le smoothie soit rafraîchissant, utilisez du lait bien froid.


Mixez. Si vous avez un blender, ne changez rien ! Si vous n’en avez pas, je vous conseille ce petit mixeur super puissant de chez Moulinex qu’on m’a offert et que j’adore. Il a 3 lames donc il broie tout en un éclair (fruits frais mais aussi fruits secs, oignons etc), du coup je m’en sers tout le temps !

Ce qui est génial c’est qu’il ne prend pas de place et passe au lave vaisselle. Et en plus il n’est pas cher 🙂 Je vous mets un lien vers Boulanger si ça vous intéresse :

http://www.amazon.fr/gp/product/B008P6WVN0/ref=as_li_tl?ie=UTF8&camp=1642&creative=6746&creativeASIN=B008P6WVN0&linkCode=as2&tag=deshistoadorm-21&linkId=KQMWQ75GY6CR24QB

Je découvre LE MIXEUR 3 LAMES >

Pour les blenders, voir l’édit en fin d’article.


Bon bah voilà c’est prêt, c’est cool je n’ai pas grand chose à écrire aujourd’hui 🙂 Vous n’avez plus qu’à vous régaler, c’est tout doux, onctueux et tellement bon.

smoothie à la banane

Mais pour me rattraper, je vous explique les différences entre smoothie, milk-shake et granité, car ce n’est pas toujours clair :

Le smoothie : il s’agit d’une boisson composée de fruits frais (ou de légumes) mixés en purée, que l’on mélange à du jus de fruits (ou de légumes). Ici, si j’avais voulu faire un smoothie dans les règles de l’art, il aurait fallu mélanger ma banane à du jus de banane. Ça aurait été très bon aussi mais, selon les fruits, c’est tout de même meilleur de remplacer le jus par du lait. Mais comme il n’y a pas de nom pour ça, on parle tout de même de smoothie, c’est plus simple. D’ailleurs, on en réalise aussi parfois avec du lait de soja ou même du thé, donc tout est possible.

smoothie aux bananes

Le milk-shake : cette fois-ci, on mélange la purée de fruits à de la crème glacée ou du yaourt glacé, et on incorpore le tout dans du lait. On le prépare généralement dans un shaker, d’où son nom.

smoothie aux bananes

Le granité : ici, des fruits et de l’eau ou du jus uniquement. La boisson nous vient de Sicile, et je peux vous assurer que mes filles qui y ont passé une partie des vacances cet été en ont descendu plus d’un !
Pour le réaliser, il suffit de réduire des fruits en purée, les mélanger avec de l’eau ou du jus de fruits et de placer le tout au congél pendant 4 heures. Le granité se présente sous forme de petits cristaux que l’on aspire avec une paille.

smoothie aux bananes

Voilà, vous savez tout
http://www.iletaitunefoislapatisserie.com/2015/08/smoothie-banane-recette-facile.html?m=1

Gastro : quoi manger ? chez l’enfant et chez l’adulte

En cas de gastro-entérite, les conseils alimentaires seront les mêmes chez un adulte ou chez un enfantqui a plus de deux ans.

Chez l’enfant et l’adulte, les risques de déshydratationmajeure sont minimes. En sachant, toutefois, que le jeune enfant, comme une personne très âgée, peut être plus vulnérable en cas de gastro-entérite sévère.

Il est parfois difficile de savoir quoi manger, tant on n’a pas faim. Il est inutile de se forcer. Il faudra simplement faire attention à ne pas se déshydrater.

On conseille donc de boire, sans attendre d’avoir soif. Il est recommandé de boire de petites quantités de liquide, mais fréquemment.

Les boissons (dé-)conseillées

En termes de boissons, tous les types de breuvages sont recommandés, comme :

Les boissons conseillées :

de l’eau minérale (idéalement riche en sodium),des tisanes (par exemple à la camomille),des sodas qui apporteront du sucre,de la soupe, des bouillons de légumes (contenant minéraux, vitamines, sel).

Les boissons déconseillées sont :

l’alcool,les boissons excitantes comme le café ou le thé,les jus de fruit.

Si même la boisson ne passe pas, si avaler une gorgée d’eau déclenche quelques minutes plus tard, un vomissement, inutile d’insister. Mieux vaut attendre un peu et mettre l’estomac au repos quelque temps.

Les aliments à éviter ou à privilégier

Côté aliments, on déconseille d’absorber :

des fibres en grandes quantités : elles ont l’inconvénient d’irriter la muqueuse digestive déjà bien atteinte.des agrumes ou des légumes riches en fibres(salades, haricots verts, choux…).le pain complet ou le pain aux graines.

Les aliments à privilégier en cas de gastro :

le riz,le pain blanc,les pommes ou compotes de pommes,les bananes,les carottes.

La muqueuse intestinale est irritée par l’infection et ces aliments ont l’avantage de vous apporter des calories et de vous nourrir sans encombre.

Il est aussi recommandé de manger en petites quantités, mais plus souvent.

Conseils de prévention

Pour limiter la contagion du virus ou bactérie à la société, il est important de se laver les mains plusieurs fois par jour avec de l’eau et du savon, notamment en période d’épidémie de gastro-entérite. Il faudra aussi bien désinfecter les différentes surfaces (ex. toilettes) et objets contaminés par le virus (voir aussi infographie ci-dessous).
Il faut savoir que le virus de la gastro-entérite, notamment le rotavirus, se transmet facilement par les excréments et les vomissures, on parle de contamination oro-fécale. Le norovirus se transmet facilement par des aliments et boissons contaminés.

Personnes à risque

Bien que tout le monde puisse souffrir d’une gastro-entérite, certaines personnes plus fragiles peuvent présenter davantage de risques lors de gastro-entérite, ce sont surtout les nouveau-nés, les petits enfants, les personnes âgées et celles présentant des maladies affaiblissant le système immunitaire. Ces personnes ont un risque plus élevé de déshydratation, surtout en cas de mauvais traitement ou trop tardif.

Symptômes

Les symptômes caractéristiques d’une gastro-entérite peuvent être :

–  une diarrhée aiguë avec une apparition souvent brutale, c’est probablement le symptôme le plus fréquent de la gastro-entérite

–  des spasmes, coliques et crampes d’estomac (mal de ventre)

–  des vomissements et des nausées

–  un manque d’appétit

–  des douleurs, comme des douleurs musculaires

–  des maux de tête

–  de la fièvre en général peu élevée (en cas d’infection à rotavirus on observe souvent de la fièvre peu élevée)

–  de la fatigue, surtout en cas d’épidémie virale provoquée par un norovirus

–  en cas de gastro-entérite virale, on observe parfois des pathologies ORL (mal de gorge, rhume, etc.) ou urinaires associées à la gastro-entérite

Remarque :
Dans les cas graves comme chez les petits enfants (bébé, nourrissons) une déshydratation (perte de poids, grande soif, sécheresse de la bouche, diminution du volume et de la fréquence des urines). Dans ce cas, consultez au plus vite un médecin.

Durée de la gastro-entérite virale

En général une gastro-entérite se résorbe en moyenne en 2 à 5 jours.
En cas de gastro-entérite à rotavirus on estime que l’amélioration s’observe 4 à 7 jours après les premiers symptômes.
Concernant les gastro-entérites à norovirus (une gastro-entérite virale fréquente), il faut compter en général 12 à 60 heures pour être guéri. Chez la plupart des patients, après 2 jours la gastro-entérite se résorbe d’elle-même. [source: nhs.uk, organe officiel du Royaume-Uni]
Attention, un malade peut rester contagieux jusqu’à 2 jours après la guérison (certaines sources parlent même de 7 jours après la fin des symptômes).

Temps d’incubation gastro-entérite virale

On estime que le temps d’incubation de la gastro-entérite virale est de 1 à 3 jours. Cela signifie que les premiers symptômes apparaissent 1 à 3 jours après la contamination par le virus.

Diagnostic

La gastro-entérite se diagnostique relativement facilement par des symptômes classiques (voir ci-dessus) assez clairs.

Pour le médecin, il s’agira principalement de déterminer dans des cas graves s’il s’agit d’une gastro-entérite virale ou bactérienne (prise d’antibiotiques nécessaire), il fera donc éventuellement des examens pour connaître l’origine virale ou bactérienne (voire parasitaire) de la gastro-entérite.

Complications

Une gastro-entérite chez des nourrissons, des bébés ou des (petits) enfants peut mener à des risques de déshydratation particulièrement problématiques (voir aussi ci-dessous), car ils ont une quantité d’eau proportionnellement supérieure à un adulte et on le sait l’eau est un élément essentiel au bon fonctionnement de tout l’organisme.

Symptômes et signes de déshydratation

– Des signes de déshydratation peuvent être : une soif intense, une perte de poids, une bouche sèche, une diminution du volume et de la fréquence des urines (votre enfant n’a pas fait pipi depuis 8 heures par exemple), une urine de couleur jaune foncée, un pouls rapide, une faiblesse grave de l’organisme, des vertiges, une confusion, etc.
– En plus des enfants en bas âge, la gastro-entérite peut mener à des complications chez des sujets plus fragiles (âgés, fragile au niveau du système immunitaire). Par conséquent une gastro-entérite doit toujours être prise au sérieux et soignée de la façon la plus adaptée. Dans le pire des cas une gastro-entérite peut mener à la mort (nous avons malheureusement pris connaissance de cas chez des bébés de plusieurs mois par exemple).

Quand consulter un médecin ?

Nous vous conseillons de consulter un médecin (pédiatre, généraliste) lorsque la gastro-entérite concerne un nourrisson, un bébé ou un petit enfant. Comme vu ci-dessus un risque important de déshydratation existe chez ces jeunes personnes.

Lors de tout symptôme suspect chez l’enfant ou l’adulte : diarrhée avec du sang dans les selles (souvent signe d’une gastro-entérite bactérienne), vomissements de couleur verdâtre consultez rapidement un médecin.

Cela dit, chez des personnes qui ne sont pas dans des groupes à risque, la gastro-entérite peut se soigner en automédication sans consulter un médecin.

 

A lire: 10 questions fréquentes sur la gastro-entérite (+QUIZ)

Phytothérapie (plantes médicinales)

Les plantes médicinales ci-dessous peuvent aider à apaiser les symptômes d’une gastro-entérite mais ne constituent pas des traitements de premier choix, il s’agit plutôt d’une mesure complémentaire.

– Le thé noir, à consommer en tisane (laisser infuser le sachet au moins dix minutes pour faire sortir les tanins) : le thé noir est particulièrement efficace lors de diarrhées à cause des tanins, ajouter éventuellement du sucre dans le thé pour compenser les pertes en glucides.

– L’acore vrai (calami), à prendre en tisane.

– Le boldo, à prendre sous forme de tisane ou en comprimé.

– La camomille vraie, à prendre sous forme de tisane.

– Le chêne, à prendre sous forme de décoction.

– Le cumin, à prendre sous forme de tisane

– La mélisse, à prendre en tisane, goutte ou encore en gélule.

– La menthe, à prendre en tisane ou en gélule.

– Le millefeuille, à prendre en tisane : particulièrement efficace lors de spasmes.

– La myrtille, à prendre sous forme de jus de myrtille.

Désinfection, prévention du virus

– En 2014, une étude réalisée par l’Université de l’Arizona (Etats-Unis) a montré que l’huile essentielle d’origan, riche en carvacrol, permettait de désinfecter des objets, surfaces, aliments et boissons contaminés par le norovirus, une cause très fréquente d’épidémie de gastro-entérite. Pour que l’huile essentielle d’origan soit efficace, elle doit être associée à un autre désinfectant. L’avantage par rapport aux produits classiques utilisés actuellement est que cette huile essentielle pourrait mener à moins de résistance de la part du virus et s’avérer moins toxique, surtout pour désinfecter des boissons et aliments. Lire cette étude en détail sur notre site Creapharma.ch

Remèdes de grand-mère

Voir aussi nos remèdes de grand-mère pour soigner la gastro-entérite :

– eau de riz

– tisane de myrtille

– décoction de chêne

– soupe de carotte

– décoction de myrtilles

– charbon végétal activé

Bons conseils

–  Il est conseillé de boire beaucoup pour favoriser la réhydratation, en particulier de l’eau, des tisanes à base de plantes ainsi que des bouillons, ce dernier aliment est particulièrement recommandé pour compenser les pertes en minéraux.

La soupe de carotte est aussi très recommandée, surtout chez les nourrissons.

–  Comme pour d’autres maladies infectieuses (refroidissement, grippe), il est conseillé de se reposer pour favoriser le travail du système immunitaire (de défense) sur les virus de la gastro-entérite.

Alimentation lors de gastro-entérite

–  Manger des aliments qui refont la flore intestinale. Par exemple des yaourts ou des médicaments à base de bactéries lactées.

–  Répartir les repas en des plus petites prises (pour que la vidange gastrique soit plus petite). Eviter de manger si les nausées reviennent.

–  Une alimentation riche en riz, par exemple à base d’eau de riz, peut ralentir le transit et donc diminuer les diarrhées (un symptôme important de la gastro-entérite).

–  Pendant la diarrhée, il faudra éviter les repas riches en graisses (ex. pizza), trop sucrés, les produits laitiers, les fruits et légumes crus ainsi que le café. Il faut savoir aussi que des jus comme un jus d’orange peuvent irriter les intestins et aggraver une diarrhée.

Lorsque les diarrhées deviennent moins fréquentes il est possible de manger des bananes ou pommes crues, si possible en purée. Puis progressivement commencer à manger du riz, des pommes de terre, etc. Une fois tous les symptômes disparus, notamment les fèces qui reviennent solides, vous pouvez manger normalement.

Prévention

La prévention est essentielle, car on sait que dans les vomis d’une gastro-entérite virale (à norovirus par exemple) on retrouve une quantité énorme de virus. Ce qui favorise par la suite la transmission rapide à d’autres personnes.

–  Se laver régulièrement les mains au savon (pendant 15 secondes), cela permet d’éviter une transmission à d’autres personnes et de se préserver d’une contamination. C’est très recommandé surtout si on s’occupe d’un bébé. Il faut se laver les mains surtout après être allé aux toilettes et avant de manger.

–  Lors de gastro-entérite dans la famille ou dans un lieu commun, il est conseillé d’éviter d’échanger les verres.

–  Ne pas embrasser votre entourage, car la transmission peut se faire très facilement.

–  Eviter de manger des aliments ayant dépassé la date d’échéance afin de prévenir une intoxication alimentaire.

–  Porter des gants jetables en cas de contamination de gastro-entérite dans une maison de retraite ou d’autres endroits en lieu fermé et fort fréquenté.

–  Si les habits sont contaminés par des vomissements ou selles, les laver à 60°C.

–  Désinfecter les surfaces (toilettes, sols,…) contaminées par des vomissements ou selles avec du Javel.

–  Buvez des produits laitiers pasteurisés.

 

 

Stop au grignotage ! — Rémi GRAU Nutrition

Le stress, la fatigue, la déprime, le surmenage, la détente… autant de facteurs qui peuvent vous faire craquer avec des aliments trop sucrés, gras ou salés. La tentation est souvent grande que ce soit dans la matinée, l’après midi le soir, entre les repas les occasions sont nombreuses et résister est toujours plus dur !

grignotage-nutrition
Stop au grignotage !

Bien souvent lorsque l’on craque on ne s’en rends pas forcément compte mais on ingère une quantité importante de graisses. Même si à première vue certains aliments choisis apparaissent comme sucrés, ceux-ci contiennent énormément de graisses cachées. La bonne structure de vos repas et la mise en place de petites collations vont vous aider à contrôler ces envies soudaines. Vous aurez tout-intérêt à organiser votre collation au moment où vous aurez le plus souvent tendance à grignoter ou à craquer !

Il est aussi important de varier les goûts, par exemple autorisez-vous une pause dans la matinée avec un fruit et une ou deux tranches de blanc de dinde ou encore quelques amandes. L’après midi que diriez vous d’un goûter avec du pain complet et un petit morceau de fromage ou deux carrés de chocolat et un fruit ?! Il est important de se faire plaisir en conservant cette diversité un certain équilibre qui vont éviteront des quantités trop importantes de sucres et de graisses.

Intégrer cette collation entre les repas quand vous êtes le plus susceptible de craquer il n’y a pas d’heure à proprement parler ce n’est pas ce qui importe le plus, on insistera surtout sur le fait de supprimer ces grignotages. Ces collations pourront vous aider a tenir d’un repas à un autre. Par exemple il vaut mieux prendre une collation le soir en rentrant chez vous plutôt que de grignoter avant votre repas.

Est-ce que je mange assez ?
Si vous avez faim entre les repas, c’est peut-être tout simplement parce que votre corps a des besoins énergétiques supérieurs à ce que vous consommez réellement, notamment durant les repas. En s’adonnant à vos entraînements réguliers, vous brûlez des calories que seule votre alimentation peut couvrir. Parfois, en voulant trop contrôler son alimentation, notamment en graisses, l’organisme ne trouve pas son compte calorique. Si vous ne pouvez pas manger plus aux différents repas (petit déjeuner, midi, soir) pour diverses raisons (peu d’appétit, entraînement long le midi, réunion tardive le soir….), prévoyez obligatoirement une collation « intelligente » entre les repas pour ne pas succomber physiologiquement aux grignotages déséquilibrés.

Est-ce que je mange mal ?
Il se peut que votre quota calorique journalier soit respecté, mais en revanche, votre alimentation est peut-être trop déséquilibrée : pas assez de féculents (pâtes, riz, pain, semoule, légumes secs, céréales de petit déjeuner…), de fibres (légumes, fruits…) ou de protéines (viandes, poissons, œufs, laitages…) et trop de produits sucrés (barre de chocolat, soda, desserts..), de repas gras mais peu volumineux (fast-foods, viennoiseries, quiche…) ou d’aliments passant trop vite les étapes digestives (substituts de repas, barres ou boissons dites « énergétique », aliments « blanchis » donc sans fibres comme le riz blanc, la purée de pommes de terre…).

Est-ce que je suis « carencé(e) » ?
A force de surveiller les calories, on en oublie l’essentiel : les aliments doivent aussi nous apporter des vitamines, des minéraux et des oligo-éléments qui sont vitaux pour notre métabolisme. Certains procédés agricoles ou industriels créent bien souvent des aliments dénaturés et vidés de ces substances précieuses. En parallèle, nous pouvons remarquer un accroissement des besoins avec le stress qui nous entoure tant sur le plan professionnel que sur le plan social, sans oublier que l’activité physique qui nous caractérise (la course à pied) est très glouton de ces molécules. Il est possible qu’une sub-carence en micro-nutriments nous pousse alors vers une prise alimentaire entre les repas pour puiser dans ces extras nos « manques ». Un apport par exemple trop faible en chrome, qui est lié à la régulation de l’insuline, impliquerait peut-être dans une certaine mesure un grignotage sucré.

Est-ce que c’est d’ordre psychologique ?
Et si c’était dans la tête que se situait le problème : stress, ennui, dépression passagère, choc psychologique, manque de confiance en soi peuvent conduire à des troubles du comportement alimentaire car la prise d’aliments peut parfois éviter de penser aux soucis ! Dans ce cas, une aide extérieur (psychologue…) est nécessaire.

Quelques astuces qui vont vous changer la vie

Ne pas négliger les protéines lors de vos repas principaux. Celles-ci vous procureront une sensation de satiété plus importante que les autres molécules alimentaires et ont un effet coupe-faim longue durée.
Consommez des fruits ou des légumes verts aux repas, car ils apportent des vitamines et des micronutriments qui satisferont les besoins liés aux activités physiques sans oublier les fibres qui calent le système digestif.
A chaque repas mangez les fameux sucres lents (pain, pâtes, riz, semoule, céréales…) de préférence sous forme complète, car les fibres ont la faculté de ralentir l’absorption des sucres dans l’intestin et fournissent alors une véritable énergie dilué dans le temps ce qui évite les hypoglycémies et les sensations de fringale qui les accompagne.
Accordez vous si nécessaire un petit plaisir sucré en fin de repas pour satisfaire le goût et l’envie de sucre « psychologique » ce qui vous évitera de craquer en pleine journée sur des produits sans intérêt nutritionnel… En fin de repas le sure « rapide » est maîtrisé par la digestion des autres aliments ce qui étale son absorption moins nuisible à l’organisme.
N’hésitez pas à troquer des envies de grignotage légitimes par de véritables collations. Répartir par conséquent son alimentation en 4 ou 5 prises alimentaires présente même des aspects positifs : apports énergétiques mieux répartis sur la journée, besoins en micronutriments satisfaits, digestion améliorée, repas principaux moins copieux et plus digestes.

via Stop au grignotage ! — Rémi GRAU Nutrition

Il y a dans le regard de nos grands parents une lumière qui ne s éteindra jamais 🌹 ne les oublions pas 👴👵

Noël arrive ! Et comme chaque année, on ne sait pas quoi offrir à ses grand-parents… On sait bien que ce qui leur fait vraiment plaisir au fond, c’est la présence de leurs proches. Et pas seulement le jour de Noël, mais toute l’année ! Mais ce n’est jamais évident de s’y tenir, surtout quand on habite loin…
Alors cette année, offrez-leur un beau cadeau : l’abonnement Parlapapi ! C’est une belle promesse, une solution inventée par Pierre-Hugues et Antoine, deux petits-enfants qui en avaient assez de ne pas pouvoir échanger facilement avec leurs grand-mères, pas très branchées numérique 🙂
Un abonnement pour recevoir des nouvelles en format Papier chaque mois de toute la famille ! Et en plus, c’est super simple ! Un simple message facebook, whatsapp ou mail et ils s’occupent du reste.
Et si cette année pour Noël, c’était aussi la fête pour nos grand-parents ? 😊

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Les bienfaits de l’avocat

 Riche en fibres et en antioxydants, l’avocat est un fruit à ne pas négliger dans la composition de notre alimentation. Avec un fort pouvoir satiétogène et malgré sa réputation d’aliment à forte teneur calorique, il a pourtant toute sa place dans un régime amaigrissant.

L’avocat : l’allié de notre régime minceur

Bien que calorique, nous aurions tort de bannir l’avocat lors d’un régime amaigrissant. En effet, les avocats contiennent des acides gras mono-insaturés (essentiellement des acides gras oléiques, un gras permettant d’activer la partie du cerveau liée à la sensation de satiété, freinant ainsi les fringales et permettant de mieux contrôler sa faim. De plus, contrairement aux autres fruits, l’avocat contient très peu de glucides (2g/100g).

Les vitamines et oligoéléments contenus dans l’avocat

L’avocat est particulièrement bien pourvu en vitamines : particulièrement riche en vitamine K (coagulation du sang, calcification des tissus mous) et vitamine B9 (vitamine de la « femme enceinte », protège contre les malformations congénitales), il est aussi source de provitamines A (antioxydant, favorise une bonne vision, croissance des os) de vitamine C (antioxydante, anti-infectieuse, cicatrisation, absorption ferrique) et de vitamines B1B2B3B5B6 (transmission de l’influx nerveux, croissance et réparation des tissus, formation d’ADN, anti-stress, formation des globules rouges…)

Il fournit enfin de la vitamine E anti oxydante, ainsi que de la lutéine et de la zéaxanthine, deux caroténoïdes également dotés de propriétés antioxydantes.

Sa chair contient de nombreux minéraux et oligo-éléments. Le potassium (régulation de la pression artérielle, récupération musculaire) et le cuivre (contribue au bon fonctionnement du myocarde) dominent. Le fer (transport de l’oxygène dans le sang), le phosphore (système nerveux central), le magnésium (système nerveux, lutte contre l’hypertension) et le zinc (métabolisme des nutriments, antioxydant) sont aussi présents en quantités intéressantes.

avocat

L’avocat et la glycémie

Riche, crémeux et contenant des gras mono-insaturés, l’avocat ralentit la digestion. Ce fruit aide également à empêcher la glycémie d’augmenter brutalement après un repas. Essayez de troquer le beurre, la margarine ou la mayonnaise par une purée de ce fruit crémeux. Pour éviter qu’il ne s’oxyde trop rapidement, pulvérisez-le de l’huile de cuisson en aérosol ou de jus de citron, et enveloppez sa chair dans une pellicule plastique.

Comment bien conserver son avocat ?

L’avocat se récolte vert. Il mûrit une fois cueilli et ayant reçu un bain d’éthylène : ce sont des fruits climactériques. Il n’est pas conseillé de le manger vert, il risque d’être amer. Pour le conserver vert, il suffit de le mettre au réfrigérateur. Il en sera de même quand il sera mûr pour arrêter la maturation.

Pour le faire mûrir, il suffit de le mettre à température ambiante. Mais si vous êtes pressé, mettez-le avec d’autres fruits qui produisent naturellement de l’éthylène comme la banane. Par déduction, pour éviter qu’il ne pourrisse vite, il ne faut pas l’entourer d’autres fruits et il faut le mettre au frais.

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1o huiles essentielles pour réaliser vos massages anti cicatrices

Hippocrate disait que « si l’Homme tombe malade, il trouve la solution dans la nature, s’il sait la regarder ». Effectivement, Dame Nature fournit à l’Homme tout ce qui lui est nécessaire pour subvenir à ses besoins en matière de santé.

Dans son ouvrage « L’aromathérapie : se soigner avec les huiles essentielles » , Dominique Baudoux propose de nombreuses formules à base d’huiles essentielles qui ont une visée curative pour la peau, comme la préparation pour les petites plaies aux huiles essentielles par exemple.

Une cicatrice correspond à la trace d’une lésion du derme, une fois que le tissu s’est réparé, à la suite d’une plaie accidentelle ou d’une incision chirurgicale. En fonction de son origine et du bon déroulement ou non du processus de cicatrisation et selon votre peau, la cicatrice qui demeure est plus ou moins belle.

Dans certains cas, le recours à un dermatologue, voire à un chirurgien, peut être nécessaire. Cependant, il est possible d’atténuer une cicatrice soi-même, récente ou ancienne, notamment par des massages avec des huiles végétales et des huiles essentielles.

Les différents types de cicatrices

Lors d’un processus de cicatrisation normal, les cicatrices connaissent une phase inflammatoire pendant laquelle elles gonflent et rougissent, puis une phase de maturation au bout de laquelle elles se réduisent et pâlissent. Il faut compter environ 12 à 18 mois pour qu’elles prennent leur apparence définitive.

  • Les cicatrices hypertrophiques sont des cicatrices qui se sont épaissies au cours du processus de cicatrisation, sans toutefois dépasser les bords de la plaie initiale. Avec le temps, elles finissent par pâlir et s’aplatir légèrement.
  • Les cicatrices chéloïdes sont des cicatrices très épaisses, boursouflées, rouges ou violettes, qui dépassent les bords de la plaie initiale, formant comme une excroissance. Elles n’ont aucune tendance à s’améliorer spontanément.

Les 10 huiles essentielles anti cicatrices

1- L’huile végétale d’argan. Une huile beauté aux multiples vertus. L’huile d’argan est particulièrement efficace dans le traitement des cicatrices et des taches. Elle contient un principe actif de la famille des stérols qui lui confère une action réparatrice et régénératrice au niveau de la peau en cas de brûlures, de cicatrices d’acné et de gerçures.

2- L’ huile végétale de rose musquée. Une huile aux propriétés cicatrisantes, régénérantes et « dépigmentantes » assez exceptionnelles. Elle est riche en acides gras essentiels, en vitamines A, C et E. Elle agit comme tenseur de l’épiderme et atténue les cicatrices, les taches et les vergetures.

3- L’ huile végétale de macadomia s’utilise pour régénérer et nourrir la peau et la rendre douce et lisse. L’Huile végétale de macadomia est assouplissante, régénératrice, et améliore la microcirculation.

4- L’ huile végétale de millepertuis pour ses vertus anti inflammatoire et antalgique. L’huile végétale de millepertios protège, aide à retrouver une  peau douce et souple et répare les peaux sensibles.

5- L’huile essentielle de gaulthérie couchée : anti-inflammatoire, exfoliante, améliore les cicatrices hypertrophiques et chéloïdes.

6- L’ huile essentielle d’ hélichryse italienne : cicatrisante, anti-inflammatoire, anti-hématome, améliore les cicatrices hypertrophiques et chéloïde.

7-  L’ huile essentielle de ciste ladanifère : régénératrice, améliore la microcirculation.

8- L’ huile essentielle de géranium rosat :  régénératrice, améliore la microcirculation

9- L’huile essentielle tea tree

Un incontournable pour la cicatrisation et la prévention des boutons d’acné. L’huile essentielle d’arbre à thé est antibactérienne, antifongique et anti infectieuse.  Sa molécule active est le terpinéol-4. Ses propriétés anti infectieuses sont reconnues et ont fait l’objet de multiples publications et études universitaires. Déposée sur une compresse stérile ou à même la peau, elle permet de désinfecter sans traumatiser la chair mise à vif. Cette HE assure en plus un rôle détersif (c’est-à-dire de nettoyage des tissus) complémentaire, particulièrement utile pour favoriser le plus précocement possible la cicatrisation.

10- L’huile essentielle de lavande

Une huile essentielle cicatrisante, anti-inflammatoire et antalgique. A appliquer par goutte en ciblant une petite zone ou en diluant dans une huile végétale.

Exemple de mélange d’huile essentielle anti cicatrice

melange-huiles-essentielles-2

– 15 ml d’HV de rose musquée ;

– 10 ml d’HV de macadamia, d’Argan ou de millepertuis ;

– 12 gouttes de chacune des HE choisies.

Précautions d’emploi

– Les femmes enceintes doivent éviter les huiles essentielles.

– Pour les huiles essentielles, faites toujours un essai et attendez 48h pour éviter tout risque d’allergie ou de réaction cutanée.

Massez votre cicatrice avec votre mélange d’huiles essentielles

L’intérêt de masser une cicatrice avec les huiles essentielles permet alors :

  • d’assouplir les tissus et de contrarier le processus de fibrose ;
  • de réduire les adhérences ;
  • de stimuler la micro-circulation ;
  • et d’améliorer progressivement l’aspect de la cicatrice;
  • Massez pendant 5 minutes 2 fois par jour.
  • Massez pendant une longue période pour obtenir des résultats : au minimum 2 ou 3 mois.

 

Sources

 

1- Mieux cicatriser les plaies avec les huiles essentielles

http://www.mon-aromatherapie.com/que-dit-la-science/mieux-cicatriser-les-plaies-avec-les-huiles-essentielles

 

2- La Cicatrisation favorisée par les huiles essentielles

Cliquer pour accéder à M%C3%A9moire_cicatrisation.pdf

 

3- Comment faire disparaitre une cicatrice de façon naturelle

Cliquer pour accéder à Les-Cicatrices-Comment-faire-disparaitre-une-cicatrice-de-fa%C3%A7on-naturelle2.pdf

 

4- 8 produits naturels anti cicatrices

http://methodes-douces-et-bien-etre.com/beaute/contre-cicatrices-acne-6-produits-naturels-2-methodes-douces/

 

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