Smoothie banane par » il étais une fois la pâtisserie « 

Smoothie banane {recette facile}

Le smoothie banane, c’est tout simple : on place les ingrédients dans le mixeur, on mixe et c’est prêt ! C’est donc une boisson vraiment rapide et facile à réaliser, délicieuse et très douce.
Alors j’entends les puristes d’ici (oui, oui, je sais qu’il y en a parmi vous ;)) : « Il n’y a pas de lait dans un smoothie ! » Je sais ! On est bien d’accord, un vrai smoothie, ce serait uniquement avec de la banane et du jus de banane, mais c’est tellement meilleur avec du lait…
A ce propos, je fais le point en fin d’article sur les différences entre smoothiemilk-shake et granité, comme ça, plus de confusion 😉

smoothie banane


Temps de préparation : 5 mn / Temps de cuisson : 0 mn / Total : 5 mn

MATÉRIEL NÉCESSAIRE : 
Pour le matériel, vous aurez bien sûr besoin d’un mixeur ou, le top pour les jus et smoothies, un blender.
Vous pouvez consulter tout mon matériel recommandé ici.

Ingrédients pour 2 smoothies :

  • 1 banane (bien mûre de préférence)
  • 250 ml de lait (demi-écrémé pour ma part)
  • 1 cuillère à soupe de cassonade
  • 1 cuillère à café d’extrait de vanille liquide

Préparation :
Coupez la banane en morceaux et placez tous les ingrédients dans le mixeur. Pour que le smoothie soit rafraîchissant, utilisez du lait bien froid.


Mixez. Si vous avez un blender, ne changez rien ! Si vous n’en avez pas, je vous conseille ce petit mixeur super puissant de chez Moulinex qu’on m’a offert et que j’adore. Il a 3 lames donc il broie tout en un éclair (fruits frais mais aussi fruits secs, oignons etc), du coup je m’en sers tout le temps !

Ce qui est génial c’est qu’il ne prend pas de place et passe au lave vaisselle. Et en plus il n’est pas cher 🙂 Je vous mets un lien vers Boulanger si ça vous intéresse :

http://www.amazon.fr/gp/product/B008P6WVN0/ref=as_li_tl?ie=UTF8&camp=1642&creative=6746&creativeASIN=B008P6WVN0&linkCode=as2&tag=deshistoadorm-21&linkId=KQMWQ75GY6CR24QB

Je découvre LE MIXEUR 3 LAMES >

Pour les blenders, voir l’édit en fin d’article.


Bon bah voilà c’est prêt, c’est cool je n’ai pas grand chose à écrire aujourd’hui 🙂 Vous n’avez plus qu’à vous régaler, c’est tout doux, onctueux et tellement bon.

smoothie à la banane

Mais pour me rattraper, je vous explique les différences entre smoothie, milk-shake et granité, car ce n’est pas toujours clair :

Le smoothie : il s’agit d’une boisson composée de fruits frais (ou de légumes) mixés en purée, que l’on mélange à du jus de fruits (ou de légumes). Ici, si j’avais voulu faire un smoothie dans les règles de l’art, il aurait fallu mélanger ma banane à du jus de banane. Ça aurait été très bon aussi mais, selon les fruits, c’est tout de même meilleur de remplacer le jus par du lait. Mais comme il n’y a pas de nom pour ça, on parle tout de même de smoothie, c’est plus simple. D’ailleurs, on en réalise aussi parfois avec du lait de soja ou même du thé, donc tout est possible.

smoothie aux bananes

Le milk-shake : cette fois-ci, on mélange la purée de fruits à de la crème glacée ou du yaourt glacé, et on incorpore le tout dans du lait. On le prépare généralement dans un shaker, d’où son nom.

smoothie aux bananes

Le granité : ici, des fruits et de l’eau ou du jus uniquement. La boisson nous vient de Sicile, et je peux vous assurer que mes filles qui y ont passé une partie des vacances cet été en ont descendu plus d’un !
Pour le réaliser, il suffit de réduire des fruits en purée, les mélanger avec de l’eau ou du jus de fruits et de placer le tout au congél pendant 4 heures. Le granité se présente sous forme de petits cristaux que l’on aspire avec une paille.

smoothie aux bananes

Voilà, vous savez tout
http://www.iletaitunefoislapatisserie.com/2015/08/smoothie-banane-recette-facile.html?m=1

Gastro : quoi manger ? chez l’enfant et chez l’adulte

En cas de gastro-entérite, les conseils alimentaires seront les mêmes chez un adulte ou chez un enfantqui a plus de deux ans.

Chez l’enfant et l’adulte, les risques de déshydratationmajeure sont minimes. En sachant, toutefois, que le jeune enfant, comme une personne très âgée, peut être plus vulnérable en cas de gastro-entérite sévère.

Il est parfois difficile de savoir quoi manger, tant on n’a pas faim. Il est inutile de se forcer. Il faudra simplement faire attention à ne pas se déshydrater.

On conseille donc de boire, sans attendre d’avoir soif. Il est recommandé de boire de petites quantités de liquide, mais fréquemment.

Les boissons (dé-)conseillées

En termes de boissons, tous les types de breuvages sont recommandés, comme :

Les boissons conseillées :

de l’eau minérale (idéalement riche en sodium),des tisanes (par exemple à la camomille),des sodas qui apporteront du sucre,de la soupe, des bouillons de légumes (contenant minéraux, vitamines, sel).

Les boissons déconseillées sont :

l’alcool,les boissons excitantes comme le café ou le thé,les jus de fruit.

Si même la boisson ne passe pas, si avaler une gorgée d’eau déclenche quelques minutes plus tard, un vomissement, inutile d’insister. Mieux vaut attendre un peu et mettre l’estomac au repos quelque temps.

Les aliments à éviter ou à privilégier

Côté aliments, on déconseille d’absorber :

des fibres en grandes quantités : elles ont l’inconvénient d’irriter la muqueuse digestive déjà bien atteinte.des agrumes ou des légumes riches en fibres(salades, haricots verts, choux…).le pain complet ou le pain aux graines.

Les aliments à privilégier en cas de gastro :

le riz,le pain blanc,les pommes ou compotes de pommes,les bananes,les carottes.

La muqueuse intestinale est irritée par l’infection et ces aliments ont l’avantage de vous apporter des calories et de vous nourrir sans encombre.

Il est aussi recommandé de manger en petites quantités, mais plus souvent.

Conseils de prévention

Pour limiter la contagion du virus ou bactérie à la société, il est important de se laver les mains plusieurs fois par jour avec de l’eau et du savon, notamment en période d’épidémie de gastro-entérite. Il faudra aussi bien désinfecter les différentes surfaces (ex. toilettes) et objets contaminés par le virus (voir aussi infographie ci-dessous).
Il faut savoir que le virus de la gastro-entérite, notamment le rotavirus, se transmet facilement par les excréments et les vomissures, on parle de contamination oro-fécale. Le norovirus se transmet facilement par des aliments et boissons contaminés.

Personnes à risque

Bien que tout le monde puisse souffrir d’une gastro-entérite, certaines personnes plus fragiles peuvent présenter davantage de risques lors de gastro-entérite, ce sont surtout les nouveau-nés, les petits enfants, les personnes âgées et celles présentant des maladies affaiblissant le système immunitaire. Ces personnes ont un risque plus élevé de déshydratation, surtout en cas de mauvais traitement ou trop tardif.

Symptômes

Les symptômes caractéristiques d’une gastro-entérite peuvent être :

–  une diarrhée aiguë avec une apparition souvent brutale, c’est probablement le symptôme le plus fréquent de la gastro-entérite

–  des spasmes, coliques et crampes d’estomac (mal de ventre)

–  des vomissements et des nausées

–  un manque d’appétit

–  des douleurs, comme des douleurs musculaires

–  des maux de tête

–  de la fièvre en général peu élevée (en cas d’infection à rotavirus on observe souvent de la fièvre peu élevée)

–  de la fatigue, surtout en cas d’épidémie virale provoquée par un norovirus

–  en cas de gastro-entérite virale, on observe parfois des pathologies ORL (mal de gorge, rhume, etc.) ou urinaires associées à la gastro-entérite

Remarque :
Dans les cas graves comme chez les petits enfants (bébé, nourrissons) une déshydratation (perte de poids, grande soif, sécheresse de la bouche, diminution du volume et de la fréquence des urines). Dans ce cas, consultez au plus vite un médecin.

Durée de la gastro-entérite virale

En général une gastro-entérite se résorbe en moyenne en 2 à 5 jours.
En cas de gastro-entérite à rotavirus on estime que l’amélioration s’observe 4 à 7 jours après les premiers symptômes.
Concernant les gastro-entérites à norovirus (une gastro-entérite virale fréquente), il faut compter en général 12 à 60 heures pour être guéri. Chez la plupart des patients, après 2 jours la gastro-entérite se résorbe d’elle-même. [source: nhs.uk, organe officiel du Royaume-Uni]
Attention, un malade peut rester contagieux jusqu’à 2 jours après la guérison (certaines sources parlent même de 7 jours après la fin des symptômes).

Temps d’incubation gastro-entérite virale

On estime que le temps d’incubation de la gastro-entérite virale est de 1 à 3 jours. Cela signifie que les premiers symptômes apparaissent 1 à 3 jours après la contamination par le virus.

Diagnostic

La gastro-entérite se diagnostique relativement facilement par des symptômes classiques (voir ci-dessus) assez clairs.

Pour le médecin, il s’agira principalement de déterminer dans des cas graves s’il s’agit d’une gastro-entérite virale ou bactérienne (prise d’antibiotiques nécessaire), il fera donc éventuellement des examens pour connaître l’origine virale ou bactérienne (voire parasitaire) de la gastro-entérite.

Complications

Une gastro-entérite chez des nourrissons, des bébés ou des (petits) enfants peut mener à des risques de déshydratation particulièrement problématiques (voir aussi ci-dessous), car ils ont une quantité d’eau proportionnellement supérieure à un adulte et on le sait l’eau est un élément essentiel au bon fonctionnement de tout l’organisme.

Symptômes et signes de déshydratation

– Des signes de déshydratation peuvent être : une soif intense, une perte de poids, une bouche sèche, une diminution du volume et de la fréquence des urines (votre enfant n’a pas fait pipi depuis 8 heures par exemple), une urine de couleur jaune foncée, un pouls rapide, une faiblesse grave de l’organisme, des vertiges, une confusion, etc.
– En plus des enfants en bas âge, la gastro-entérite peut mener à des complications chez des sujets plus fragiles (âgés, fragile au niveau du système immunitaire). Par conséquent une gastro-entérite doit toujours être prise au sérieux et soignée de la façon la plus adaptée. Dans le pire des cas une gastro-entérite peut mener à la mort (nous avons malheureusement pris connaissance de cas chez des bébés de plusieurs mois par exemple).

Quand consulter un médecin ?

Nous vous conseillons de consulter un médecin (pédiatre, généraliste) lorsque la gastro-entérite concerne un nourrisson, un bébé ou un petit enfant. Comme vu ci-dessus un risque important de déshydratation existe chez ces jeunes personnes.

Lors de tout symptôme suspect chez l’enfant ou l’adulte : diarrhée avec du sang dans les selles (souvent signe d’une gastro-entérite bactérienne), vomissements de couleur verdâtre consultez rapidement un médecin.

Cela dit, chez des personnes qui ne sont pas dans des groupes à risque, la gastro-entérite peut se soigner en automédication sans consulter un médecin.

 

A lire: 10 questions fréquentes sur la gastro-entérite (+QUIZ)

Phytothérapie (plantes médicinales)

Les plantes médicinales ci-dessous peuvent aider à apaiser les symptômes d’une gastro-entérite mais ne constituent pas des traitements de premier choix, il s’agit plutôt d’une mesure complémentaire.

– Le thé noir, à consommer en tisane (laisser infuser le sachet au moins dix minutes pour faire sortir les tanins) : le thé noir est particulièrement efficace lors de diarrhées à cause des tanins, ajouter éventuellement du sucre dans le thé pour compenser les pertes en glucides.

– L’acore vrai (calami), à prendre en tisane.

– Le boldo, à prendre sous forme de tisane ou en comprimé.

– La camomille vraie, à prendre sous forme de tisane.

– Le chêne, à prendre sous forme de décoction.

– Le cumin, à prendre sous forme de tisane

– La mélisse, à prendre en tisane, goutte ou encore en gélule.

– La menthe, à prendre en tisane ou en gélule.

– Le millefeuille, à prendre en tisane : particulièrement efficace lors de spasmes.

– La myrtille, à prendre sous forme de jus de myrtille.

Désinfection, prévention du virus

– En 2014, une étude réalisée par l’Université de l’Arizona (Etats-Unis) a montré que l’huile essentielle d’origan, riche en carvacrol, permettait de désinfecter des objets, surfaces, aliments et boissons contaminés par le norovirus, une cause très fréquente d’épidémie de gastro-entérite. Pour que l’huile essentielle d’origan soit efficace, elle doit être associée à un autre désinfectant. L’avantage par rapport aux produits classiques utilisés actuellement est que cette huile essentielle pourrait mener à moins de résistance de la part du virus et s’avérer moins toxique, surtout pour désinfecter des boissons et aliments. Lire cette étude en détail sur notre site Creapharma.ch

Remèdes de grand-mère

Voir aussi nos remèdes de grand-mère pour soigner la gastro-entérite :

– eau de riz

– tisane de myrtille

– décoction de chêne

– soupe de carotte

– décoction de myrtilles

– charbon végétal activé

Bons conseils

–  Il est conseillé de boire beaucoup pour favoriser la réhydratation, en particulier de l’eau, des tisanes à base de plantes ainsi que des bouillons, ce dernier aliment est particulièrement recommandé pour compenser les pertes en minéraux.

La soupe de carotte est aussi très recommandée, surtout chez les nourrissons.

–  Comme pour d’autres maladies infectieuses (refroidissement, grippe), il est conseillé de se reposer pour favoriser le travail du système immunitaire (de défense) sur les virus de la gastro-entérite.

Alimentation lors de gastro-entérite

–  Manger des aliments qui refont la flore intestinale. Par exemple des yaourts ou des médicaments à base de bactéries lactées.

–  Répartir les repas en des plus petites prises (pour que la vidange gastrique soit plus petite). Eviter de manger si les nausées reviennent.

–  Une alimentation riche en riz, par exemple à base d’eau de riz, peut ralentir le transit et donc diminuer les diarrhées (un symptôme important de la gastro-entérite).

–  Pendant la diarrhée, il faudra éviter les repas riches en graisses (ex. pizza), trop sucrés, les produits laitiers, les fruits et légumes crus ainsi que le café. Il faut savoir aussi que des jus comme un jus d’orange peuvent irriter les intestins et aggraver une diarrhée.

Lorsque les diarrhées deviennent moins fréquentes il est possible de manger des bananes ou pommes crues, si possible en purée. Puis progressivement commencer à manger du riz, des pommes de terre, etc. Une fois tous les symptômes disparus, notamment les fèces qui reviennent solides, vous pouvez manger normalement.

Prévention

La prévention est essentielle, car on sait que dans les vomis d’une gastro-entérite virale (à norovirus par exemple) on retrouve une quantité énorme de virus. Ce qui favorise par la suite la transmission rapide à d’autres personnes.

–  Se laver régulièrement les mains au savon (pendant 15 secondes), cela permet d’éviter une transmission à d’autres personnes et de se préserver d’une contamination. C’est très recommandé surtout si on s’occupe d’un bébé. Il faut se laver les mains surtout après être allé aux toilettes et avant de manger.

–  Lors de gastro-entérite dans la famille ou dans un lieu commun, il est conseillé d’éviter d’échanger les verres.

–  Ne pas embrasser votre entourage, car la transmission peut se faire très facilement.

–  Eviter de manger des aliments ayant dépassé la date d’échéance afin de prévenir une intoxication alimentaire.

–  Porter des gants jetables en cas de contamination de gastro-entérite dans une maison de retraite ou d’autres endroits en lieu fermé et fort fréquenté.

–  Si les habits sont contaminés par des vomissements ou selles, les laver à 60°C.

–  Désinfecter les surfaces (toilettes, sols,…) contaminées par des vomissements ou selles avec du Javel.

–  Buvez des produits laitiers pasteurisés.

 

 

Stop au grignotage ! — Rémi GRAU Nutrition

Le stress, la fatigue, la déprime, le surmenage, la détente… autant de facteurs qui peuvent vous faire craquer avec des aliments trop sucrés, gras ou salés. La tentation est souvent grande que ce soit dans la matinée, l’après midi le soir, entre les repas les occasions sont nombreuses et résister est toujours plus dur !

grignotage-nutrition
Stop au grignotage !

Bien souvent lorsque l’on craque on ne s’en rends pas forcément compte mais on ingère une quantité importante de graisses. Même si à première vue certains aliments choisis apparaissent comme sucrés, ceux-ci contiennent énormément de graisses cachées. La bonne structure de vos repas et la mise en place de petites collations vont vous aider à contrôler ces envies soudaines. Vous aurez tout-intérêt à organiser votre collation au moment où vous aurez le plus souvent tendance à grignoter ou à craquer !

Il est aussi important de varier les goûts, par exemple autorisez-vous une pause dans la matinée avec un fruit et une ou deux tranches de blanc de dinde ou encore quelques amandes. L’après midi que diriez vous d’un goûter avec du pain complet et un petit morceau de fromage ou deux carrés de chocolat et un fruit ?! Il est important de se faire plaisir en conservant cette diversité un certain équilibre qui vont éviteront des quantités trop importantes de sucres et de graisses.

Intégrer cette collation entre les repas quand vous êtes le plus susceptible de craquer il n’y a pas d’heure à proprement parler ce n’est pas ce qui importe le plus, on insistera surtout sur le fait de supprimer ces grignotages. Ces collations pourront vous aider a tenir d’un repas à un autre. Par exemple il vaut mieux prendre une collation le soir en rentrant chez vous plutôt que de grignoter avant votre repas.

Est-ce que je mange assez ?
Si vous avez faim entre les repas, c’est peut-être tout simplement parce que votre corps a des besoins énergétiques supérieurs à ce que vous consommez réellement, notamment durant les repas. En s’adonnant à vos entraînements réguliers, vous brûlez des calories que seule votre alimentation peut couvrir. Parfois, en voulant trop contrôler son alimentation, notamment en graisses, l’organisme ne trouve pas son compte calorique. Si vous ne pouvez pas manger plus aux différents repas (petit déjeuner, midi, soir) pour diverses raisons (peu d’appétit, entraînement long le midi, réunion tardive le soir….), prévoyez obligatoirement une collation « intelligente » entre les repas pour ne pas succomber physiologiquement aux grignotages déséquilibrés.

Est-ce que je mange mal ?
Il se peut que votre quota calorique journalier soit respecté, mais en revanche, votre alimentation est peut-être trop déséquilibrée : pas assez de féculents (pâtes, riz, pain, semoule, légumes secs, céréales de petit déjeuner…), de fibres (légumes, fruits…) ou de protéines (viandes, poissons, œufs, laitages…) et trop de produits sucrés (barre de chocolat, soda, desserts..), de repas gras mais peu volumineux (fast-foods, viennoiseries, quiche…) ou d’aliments passant trop vite les étapes digestives (substituts de repas, barres ou boissons dites « énergétique », aliments « blanchis » donc sans fibres comme le riz blanc, la purée de pommes de terre…).

Est-ce que je suis « carencé(e) » ?
A force de surveiller les calories, on en oublie l’essentiel : les aliments doivent aussi nous apporter des vitamines, des minéraux et des oligo-éléments qui sont vitaux pour notre métabolisme. Certains procédés agricoles ou industriels créent bien souvent des aliments dénaturés et vidés de ces substances précieuses. En parallèle, nous pouvons remarquer un accroissement des besoins avec le stress qui nous entoure tant sur le plan professionnel que sur le plan social, sans oublier que l’activité physique qui nous caractérise (la course à pied) est très glouton de ces molécules. Il est possible qu’une sub-carence en micro-nutriments nous pousse alors vers une prise alimentaire entre les repas pour puiser dans ces extras nos « manques ». Un apport par exemple trop faible en chrome, qui est lié à la régulation de l’insuline, impliquerait peut-être dans une certaine mesure un grignotage sucré.

Est-ce que c’est d’ordre psychologique ?
Et si c’était dans la tête que se situait le problème : stress, ennui, dépression passagère, choc psychologique, manque de confiance en soi peuvent conduire à des troubles du comportement alimentaire car la prise d’aliments peut parfois éviter de penser aux soucis ! Dans ce cas, une aide extérieur (psychologue…) est nécessaire.

Quelques astuces qui vont vous changer la vie

Ne pas négliger les protéines lors de vos repas principaux. Celles-ci vous procureront une sensation de satiété plus importante que les autres molécules alimentaires et ont un effet coupe-faim longue durée.
Consommez des fruits ou des légumes verts aux repas, car ils apportent des vitamines et des micronutriments qui satisferont les besoins liés aux activités physiques sans oublier les fibres qui calent le système digestif.
A chaque repas mangez les fameux sucres lents (pain, pâtes, riz, semoule, céréales…) de préférence sous forme complète, car les fibres ont la faculté de ralentir l’absorption des sucres dans l’intestin et fournissent alors une véritable énergie dilué dans le temps ce qui évite les hypoglycémies et les sensations de fringale qui les accompagne.
Accordez vous si nécessaire un petit plaisir sucré en fin de repas pour satisfaire le goût et l’envie de sucre « psychologique » ce qui vous évitera de craquer en pleine journée sur des produits sans intérêt nutritionnel… En fin de repas le sure « rapide » est maîtrisé par la digestion des autres aliments ce qui étale son absorption moins nuisible à l’organisme.
N’hésitez pas à troquer des envies de grignotage légitimes par de véritables collations. Répartir par conséquent son alimentation en 4 ou 5 prises alimentaires présente même des aspects positifs : apports énergétiques mieux répartis sur la journée, besoins en micronutriments satisfaits, digestion améliorée, repas principaux moins copieux et plus digestes.

via Stop au grignotage ! — Rémi GRAU Nutrition

Affronter l’hiver avec les huiles essentielles — Les conseils phyto-aromatiques de Laurence, Pharmacien Herboriste et ses Expertes

Affronter l’hiver avec les huiles essentielles

Pour prévenir les petits bobos et autres désagréments hivernaux, les huiles essentielles font des miracles ! Nos conseils pour un hiver en pleine forme.

L’hiver s’installe doucement mais sûrement et met à mal nos organismes. Fatigue, coup de froid, manque de soleil… nous sommes agressés quotidiennement par ses effets. Utilisées en traitement préventif et curatif, les huiles essentielles combattent les refroidissements causés par les virus et bactéries.

Les huiles essentielle en traitement préventif

L’arrivée de l’hiver est l’occasion d’adopter de nouvelles habitudes en matière d’aromathérapie. Plusieurs huiles essentielles  combinées peuvent en effet créer un cocktail redoutable contre le coup de froid, la rhume et autres grippes.

Traitement à base de Ravintsara

Le Ravintsara (Cinnamomum camphora ct cineol) est un excellent stimulant du système immunitaire et neuro-tonique. En cure de 3 semaines, on dépose une goutte au creux du poignet le matin, à raison de 5 jours par semaine. Pour les enfants, préférez une solution diluée dans de l’huile végétale et massez les pieds chaque matin.

Traitement à base de cannelle écorce833px-casse__cannelle

La cannelle écorce  ( Cinnamomum zeylanicum) est un antibactérien et antiviral très puissant. Son huile essentielle, diffusée dans l’air 15 minutes le matin et 15 minutes le soir, stimule le système immunitaire et combat les premiers signes d’infection.

Les huiles essentielles pour guérir les maladies

Plusieurs huiles essentielles peuvent combattre les premiers signes de refroidissement et coup de fatigue.

Traitement à base d’eucalyptus525949691-797ac03a41-small

L’Eucalyptus radié  (Eucalyptus radiata var radiata) présente l’avantage assez rare de convenir aussi bien aux adultes qu’aux enfants. Il soulage et soigne les infections de la sphère ORL. L’eucalyptus globuleux quant à lui est recommandé pour les infections des bronches. Mettez 2 gouttes dans un bol d’eau chaude et inhalez 2 à 3 fois par jour. Vous pouvez aussi réaliser un mélange à frictionner sur le thorax, 3 fois par jour (réservé aux adultes).

Traitement à base d’arbre à thé

L’huile essentielle de Tea tree (Melaleuca alternifolia)  est un anti-infectieux général, qui lutte contre l’état grippal, les otites, les angines, etc. Elle peut être consommée dans une cuillère de miel, à raison de 5 gouttes par jour maximum.

via Affronter l’hiver avec les huiles essentielles — Les conseils phyto-aromatiques de Laurence, Pharmacien Herboriste et ses Expertes

RECETTE DE LA BÛCHE AU CHOCOLAT

 

RECETTE DE LA BÛCHE AU CHOCOLAT
Temps de préparation : 2 heures et 30 minutes
Temps de repos : 3 heures
Temps de cuisson : 35 minutes

INGRÉDIENTS (POUR 8 À 10 PERSONNES)
Pour le biscuit cuillère
9 jaunes d’œufs
130 g de sucre semoule
5 blancs d’œufs
85 g de farine fluide pâtissière, tamisée
Pour la crème au beurre au chocolat
300 g de beurre doux, ramolli en pommade
180 g de sucre semoule
2 œufs entiers
2 jaunes d’oeufs
100 g de chocolat, 50% de cacao (voire plus, selon le goût)
5 cl d’eau
Pour le sirop de punchage
500 ml d’eau
250 g de sucre en poudre
80 ml d’alcool (rhum, kirsh, Grand Marnier) et / ou d’un arôme au choix
PRÉPARATION
Biscuit
Préchauffer le four à 230 degrés.

Clarifier les œufs. Dans une terrine, fouetter les jaunes avec 80 g de sucre semoule jusqu’à ce qu’ils blanchissent et soient fermes.

Dans une seconde terrine, fouetter les blancs avec les 50 g de sucre semoule restants, jusqu’à ce qu’ils soient fermes.

Incorporer les jaunes sucrés aux blancs, en soulevant la préparation du bas de la cuve vers le haut, très délicatement, et ce afin de ne pas casser les blancs. Incorporer ensuite la farine en pluie fine, en procédant de la même manière.

Etaler le biscuit sous forme de rectangle sur une plaque d’environ 30 x 40 cm recouverte de papier sulfurisé. Enfourner pendant 5 à 6 minutes environ.

Retirer du four et laisser refroidir. Retourner le biscuit sur un second papier sulfurisé et décoller le premier papier du biscuit.

Crème au beurre au chocolat
Faire fondre le chocolat au bain-marie et le réserver à température ambiante.

Battre les oeufs entiers et les jaunes au batteur électrique pendant 4 minutes.

Dans une casserole à revêtement anti adhésif, porter le sucre et l’eau à ébullition et cuire à feu moyen / doux jusqu’à une température de 118 degrés. Tremper ensuite très rapidement le fond de la casserole dans de l’eau froide afin de stopper la cuisson du sucre.

Tout en fouettant les jaunes d’oeufs, verser doucement le sirop en filet sur les oeufs et fouetter vivement pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que le tout soit tempéré, le mélange devant au moins doubler de volume et blanchir.

Le batteur sur vitesse moyenne, incorporer délicatement et progressivement le beurre. Il est très important que le beurre soit mou en pommade et non fondu.

Finir en incorporant délicatement le chocolat fondu.

Séparer la crème au beurre au chocolat en deux portions de 1/3 et 2/3.

Sirop de punchage
Mélanger l’eau et le sucre dans une casserole. Porter à ébullition. Remuer jusqu’à dissolution complète du sucre. Cuire à feu doux 3 minutes, sans cesser de remuer.

Réserver le sirop dans un récipient en verre et laisser refroidir jusqu’à obtenir une température d’environ 15 à 20 degrés. Une fois refroidi, ajouter l’alcool et / ou le parfum choisi.

Montage de la buche
Puncher le biscuit au pinceau avec le sirop.

Etaler uniformément 1/3 de la crème au beurre au chocolat sur toute la surface du biscuit. Rouler la bûche dans le sens de la largeur. L’envelopper dans un film étirable bien serré pour qu’elle garde sa forme. La réserver pendant 3 heures au réfrigérateur.

Sortir le biscuit roulé du réfrigérateur. Trancher une des extrémités de la bûche. Elle servira pour faire un “noeud” (comme dans une vraie bûche).

À l’aide d’une spatule, étaler les 2/3 restants de la crème au beurre au chocolat, puis poser le noeud. Enduire ensuite le pourtour du “noeud” de crème.

À l’aide d’un peigne à pâtisserie ou d’une fourchette, faire des stries afin d’imiter l’écorce du bois.

source : https://www.196flavors.com/fr/france-buche-de-noel-au-chocolat/

 

La datte un remède qui date

Les dattes contiennent du cuivre, du potassium, des fibres, du magnésium, de la vitamine B6 et du manganèse.  Si vous commencez à manger trois dattes par jour, voici ce que vous remarquerez.

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Les dattes améliorent votre santé digestive : si vous avez des problèmes tels que l’IBS, la constipation ou autres problèmes liés à votre appareil digestif. Il a été démontré que les fibres qu’elles contiennent diminuaient vos risques de développer un cancer du côlon. Les dattes sont même recommandées lors d’hémorroïdes.

Les dattes soulagent la douleur: grâce à leurs teneurs en magnésium qui est un anti-inflammatoire. Les études ont montré qu’elles aident à réduire l’inflammation artérielle et  diminuent le risque de maladies cardiaques ainsi que d’autres maladies telles que l’Alzheimer, l’arthrite.

Les dattes pour une grossesse en bonne santé : Si une femme consommait des dattes durant ses quatre dernières semaines de grossesse, son accouchement serait plus favorable.

Les dattes contre l’hypertension et les accidents vasculaires cérébraux : le magnésium présent dans les dattes est  utile pour diminuer une pression artérielle élevée. Le potassium présent dans les dattes aide également le cœur à travailler plus doucement et diminue ainsi la pression sanguine.

Il y a dans le regard de nos grands parents une lumière qui ne s éteindra jamais 🌹 ne les oublions pas 👴👵

Noël arrive ! Et comme chaque année, on ne sait pas quoi offrir à ses grand-parents… On sait bien que ce qui leur fait vraiment plaisir au fond, c’est la présence de leurs proches. Et pas seulement le jour de Noël, mais toute l’année ! Mais ce n’est jamais évident de s’y tenir, surtout quand on habite loin…
Alors cette année, offrez-leur un beau cadeau : l’abonnement Parlapapi ! C’est une belle promesse, une solution inventée par Pierre-Hugues et Antoine, deux petits-enfants qui en avaient assez de ne pas pouvoir échanger facilement avec leurs grand-mères, pas très branchées numérique 🙂
Un abonnement pour recevoir des nouvelles en format Papier chaque mois de toute la famille ! Et en plus, c’est super simple ! Un simple message facebook, whatsapp ou mail et ils s’occupent du reste.
Et si cette année pour Noël, c’était aussi la fête pour nos grand-parents ? 😊

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Les bienfaits de l’avocat

 Riche en fibres et en antioxydants, l’avocat est un fruit à ne pas négliger dans la composition de notre alimentation. Avec un fort pouvoir satiétogène et malgré sa réputation d’aliment à forte teneur calorique, il a pourtant toute sa place dans un régime amaigrissant.

L’avocat : l’allié de notre régime minceur

Bien que calorique, nous aurions tort de bannir l’avocat lors d’un régime amaigrissant. En effet, les avocats contiennent des acides gras mono-insaturés (essentiellement des acides gras oléiques, un gras permettant d’activer la partie du cerveau liée à la sensation de satiété, freinant ainsi les fringales et permettant de mieux contrôler sa faim. De plus, contrairement aux autres fruits, l’avocat contient très peu de glucides (2g/100g).

Les vitamines et oligoéléments contenus dans l’avocat

L’avocat est particulièrement bien pourvu en vitamines : particulièrement riche en vitamine K (coagulation du sang, calcification des tissus mous) et vitamine B9 (vitamine de la « femme enceinte », protège contre les malformations congénitales), il est aussi source de provitamines A (antioxydant, favorise une bonne vision, croissance des os) de vitamine C (antioxydante, anti-infectieuse, cicatrisation, absorption ferrique) et de vitamines B1B2B3B5B6 (transmission de l’influx nerveux, croissance et réparation des tissus, formation d’ADN, anti-stress, formation des globules rouges…)

Il fournit enfin de la vitamine E anti oxydante, ainsi que de la lutéine et de la zéaxanthine, deux caroténoïdes également dotés de propriétés antioxydantes.

Sa chair contient de nombreux minéraux et oligo-éléments. Le potassium (régulation de la pression artérielle, récupération musculaire) et le cuivre (contribue au bon fonctionnement du myocarde) dominent. Le fer (transport de l’oxygène dans le sang), le phosphore (système nerveux central), le magnésium (système nerveux, lutte contre l’hypertension) et le zinc (métabolisme des nutriments, antioxydant) sont aussi présents en quantités intéressantes.

avocat

L’avocat et la glycémie

Riche, crémeux et contenant des gras mono-insaturés, l’avocat ralentit la digestion. Ce fruit aide également à empêcher la glycémie d’augmenter brutalement après un repas. Essayez de troquer le beurre, la margarine ou la mayonnaise par une purée de ce fruit crémeux. Pour éviter qu’il ne s’oxyde trop rapidement, pulvérisez-le de l’huile de cuisson en aérosol ou de jus de citron, et enveloppez sa chair dans une pellicule plastique.

Comment bien conserver son avocat ?

L’avocat se récolte vert. Il mûrit une fois cueilli et ayant reçu un bain d’éthylène : ce sont des fruits climactériques. Il n’est pas conseillé de le manger vert, il risque d’être amer. Pour le conserver vert, il suffit de le mettre au réfrigérateur. Il en sera de même quand il sera mûr pour arrêter la maturation.

Pour le faire mûrir, il suffit de le mettre à température ambiante. Mais si vous êtes pressé, mettez-le avec d’autres fruits qui produisent naturellement de l’éthylène comme la banane. Par déduction, pour éviter qu’il ne pourrisse vite, il ne faut pas l’entourer d’autres fruits et il faut le mettre au frais.

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1o huiles essentielles pour réaliser vos massages anti cicatrices

Hippocrate disait que « si l’Homme tombe malade, il trouve la solution dans la nature, s’il sait la regarder ». Effectivement, Dame Nature fournit à l’Homme tout ce qui lui est nécessaire pour subvenir à ses besoins en matière de santé.

Dans son ouvrage « L’aromathérapie : se soigner avec les huiles essentielles » , Dominique Baudoux propose de nombreuses formules à base d’huiles essentielles qui ont une visée curative pour la peau, comme la préparation pour les petites plaies aux huiles essentielles par exemple.

Une cicatrice correspond à la trace d’une lésion du derme, une fois que le tissu s’est réparé, à la suite d’une plaie accidentelle ou d’une incision chirurgicale. En fonction de son origine et du bon déroulement ou non du processus de cicatrisation et selon votre peau, la cicatrice qui demeure est plus ou moins belle.

Dans certains cas, le recours à un dermatologue, voire à un chirurgien, peut être nécessaire. Cependant, il est possible d’atténuer une cicatrice soi-même, récente ou ancienne, notamment par des massages avec des huiles végétales et des huiles essentielles.

Les différents types de cicatrices

Lors d’un processus de cicatrisation normal, les cicatrices connaissent une phase inflammatoire pendant laquelle elles gonflent et rougissent, puis une phase de maturation au bout de laquelle elles se réduisent et pâlissent. Il faut compter environ 12 à 18 mois pour qu’elles prennent leur apparence définitive.

  • Les cicatrices hypertrophiques sont des cicatrices qui se sont épaissies au cours du processus de cicatrisation, sans toutefois dépasser les bords de la plaie initiale. Avec le temps, elles finissent par pâlir et s’aplatir légèrement.
  • Les cicatrices chéloïdes sont des cicatrices très épaisses, boursouflées, rouges ou violettes, qui dépassent les bords de la plaie initiale, formant comme une excroissance. Elles n’ont aucune tendance à s’améliorer spontanément.

Les 10 huiles essentielles anti cicatrices

1- L’huile végétale d’argan. Une huile beauté aux multiples vertus. L’huile d’argan est particulièrement efficace dans le traitement des cicatrices et des taches. Elle contient un principe actif de la famille des stérols qui lui confère une action réparatrice et régénératrice au niveau de la peau en cas de brûlures, de cicatrices d’acné et de gerçures.

2- L’ huile végétale de rose musquée. Une huile aux propriétés cicatrisantes, régénérantes et « dépigmentantes » assez exceptionnelles. Elle est riche en acides gras essentiels, en vitamines A, C et E. Elle agit comme tenseur de l’épiderme et atténue les cicatrices, les taches et les vergetures.

3- L’ huile végétale de macadomia s’utilise pour régénérer et nourrir la peau et la rendre douce et lisse. L’Huile végétale de macadomia est assouplissante, régénératrice, et améliore la microcirculation.

4- L’ huile végétale de millepertuis pour ses vertus anti inflammatoire et antalgique. L’huile végétale de millepertios protège, aide à retrouver une  peau douce et souple et répare les peaux sensibles.

5- L’huile essentielle de gaulthérie couchée : anti-inflammatoire, exfoliante, améliore les cicatrices hypertrophiques et chéloïdes.

6- L’ huile essentielle d’ hélichryse italienne : cicatrisante, anti-inflammatoire, anti-hématome, améliore les cicatrices hypertrophiques et chéloïde.

7-  L’ huile essentielle de ciste ladanifère : régénératrice, améliore la microcirculation.

8- L’ huile essentielle de géranium rosat :  régénératrice, améliore la microcirculation

9- L’huile essentielle tea tree

Un incontournable pour la cicatrisation et la prévention des boutons d’acné. L’huile essentielle d’arbre à thé est antibactérienne, antifongique et anti infectieuse.  Sa molécule active est le terpinéol-4. Ses propriétés anti infectieuses sont reconnues et ont fait l’objet de multiples publications et études universitaires. Déposée sur une compresse stérile ou à même la peau, elle permet de désinfecter sans traumatiser la chair mise à vif. Cette HE assure en plus un rôle détersif (c’est-à-dire de nettoyage des tissus) complémentaire, particulièrement utile pour favoriser le plus précocement possible la cicatrisation.

10- L’huile essentielle de lavande

Une huile essentielle cicatrisante, anti-inflammatoire et antalgique. A appliquer par goutte en ciblant une petite zone ou en diluant dans une huile végétale.

Exemple de mélange d’huile essentielle anti cicatrice

melange-huiles-essentielles-2

– 15 ml d’HV de rose musquée ;

– 10 ml d’HV de macadamia, d’Argan ou de millepertuis ;

– 12 gouttes de chacune des HE choisies.

Précautions d’emploi

– Les femmes enceintes doivent éviter les huiles essentielles.

– Pour les huiles essentielles, faites toujours un essai et attendez 48h pour éviter tout risque d’allergie ou de réaction cutanée.

Massez votre cicatrice avec votre mélange d’huiles essentielles

L’intérêt de masser une cicatrice avec les huiles essentielles permet alors :

  • d’assouplir les tissus et de contrarier le processus de fibrose ;
  • de réduire les adhérences ;
  • de stimuler la micro-circulation ;
  • et d’améliorer progressivement l’aspect de la cicatrice;
  • Massez pendant 5 minutes 2 fois par jour.
  • Massez pendant une longue période pour obtenir des résultats : au minimum 2 ou 3 mois.

 

Sources

 

1- Mieux cicatriser les plaies avec les huiles essentielles

http://www.mon-aromatherapie.com/que-dit-la-science/mieux-cicatriser-les-plaies-avec-les-huiles-essentielles

 

2- La Cicatrisation favorisée par les huiles essentielles

Cliquer pour accéder à M%C3%A9moire_cicatrisation.pdf

 

3- Comment faire disparaitre une cicatrice de façon naturelle

Cliquer pour accéder à Les-Cicatrices-Comment-faire-disparaitre-une-cicatrice-de-fa%C3%A7on-naturelle2.pdf

 

4- 8 produits naturels anti cicatrices

http://methodes-douces-et-bien-etre.com/beaute/contre-cicatrices-acne-6-produits-naturels-2-methodes-douces/

 

http://staticxx.facebook.com/connect/xd_arbiter/r/lY4eZXm_YWu.js?version=42#channel=f2d0b4b049a70b4&origin=http%3A%2F%2Fblog.soin-et-nature.comhttps://staticxx.facebook.com/connect/xd_arbiter/r/lY4eZXm_YWu.js?version=42#channel=f2d0b4b049a70b4&origin=http%3A%2F%2Fblog.soin-et-nature.com

Voici le truc pour s’ endormir en moins d’ une minute 😉

VERTUS ET BIENFAITS DE LA POMME par moovondelarochelle

pomme

VERTUS ET BIENFAITS DE LA POMME

Disponible à toutes les saisons, nous oublions (à tort)
que la pomme est un vrai fruit santé.
Il est temps de croquer les pommes à pleines dents !

La pomme, allié des sportifs
Composée à 85% d’eau, la pomme nous assure une bonne hydratation. Un élément essentiel lorsque l’on fait du sport. En effet le corps, notamment par la transpiration, perd énormément d’eau. Il faut donc boire beaucoup pour compenser ce phénomène naturel. La pomme apporte aussi tous les sucres nécessaires pour éviter l’hypoglycémie. Ainsi vous éviterez les coups de pompe ! Les polyphénols contenus dans la pomme, quant à eux, préviennent les microtraumatismes dus à la pratique du sport.

La pomme, l’alliée du régime
Qui n’a jamais entendu cette phrase ? La pomme étant un coupe faim naturel, elle nous aide lorsque nous souhaitons faire un régime mais sa richesse ne s’arrête pas là. Quand on mange une pomme, la mastication permet d’arriver facilement à satiété. Elle réduit donc considérablement l’appétit et est un excellent coupe-faim naturel. Avec seulement 80 calories en moyenne, elle permet d’avoir le sucre du fruit sans en subir les conséquences. C’est pour cela que la pomme est recommandée pour les régimes car elle donnera la petite note de sucré qu’il peut parfois vous manquer ! De plus, au-delà de participer à l’effet coupe-faim, la pectine ralentit le processus de stockage des graisses.

Quand vous avez un petit creux ou une subite envie de grignoter, préférez une pomme à des biscuits ! C’est votre corps qui vous en remerciera.

La pomme, un soin anti-âge
Etonnant, non ? La pomme est riche en antioxydants qui permettent de lutter contre le vieillissement des cellules. Cela est dû aux polyphénols contenus dans la pomme car ils ont des propriétés anti-oxydantes et antirides. Une vraie cure de jouvence, simplement en mangeant une pomme.

La pomme, une aide pour un bon transit
Remplie de fibres, la pomme aide à la digestion. Et c’est encore grâce à la pectine, heureusement qu’elle est là ! En effet, elle forme un gel épais qui protège l’intestin des agressions et joue le rôle d’une véritable barrière. Aussi, elle aide à lutter contre la constipation grâce à la cellulose et hémicellulose qui stimule le transit. Pour cela, le mieux est de la consommer avec la peau car elle est riche en cellulose. Préférez-les donc bio pour éviter les pesticides.

La pomme, bonne pour nos dents
Manger des pommes permettrait de prévenir les caries car la mastication de celle-ci permet une bonne hygiène dentaire. En effet, nous mangeons de plus en plus d’aliments qui ne demandent plus ou presque plus à nos dents de travailler. C’est un réel problème puisque si elles sont là, ce n’est pas seulement pour que nous ayons un joli sourire ! Manger une pomme sert autant à nos dents qu’à notre gencive. De plus, croquer une pomme permet une salivation importante et lutte ainsi contre les bactéries et l’acidité.

La pomme, bonne pour l’asthme
On remarquerait une augmentation des capacités anti-oxydantes du corps grâce aux polyphénols et les flavonoïdes, ce qui entrainerait une réduction de l’asthme.

La pomme, une aide pour lutter contre le cholestérol
D’après plusieurs études, des chercheurs ont pu observer que consommer une pomme par jour a permis la diminution du taux de cholestérol chez les patients suivis. Une aide non négligeable pour la baisse du mauvais cholestérol. Par la même occasion, la pomme fait augmenter le bon cholestérol ! Il semblerait que ce soit grâce à la pectine et à d’autres fibres présentent dans la pomme.

Infos site "féminin bio"

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Cake fruits secs (figues+abricots) et clémentine, glaçage à la clémentine — Une abeille en cuisine

Je vous propose aujourd’hui un cake bien de saison, à base de fruits secs et jus de clémentines. Nous l’avons dévorer au petit-déjeuner. Dévorer, c’est bien le terme car il n’a pas fait long feu tant il est savoureux et moelleux en bouche. Il s’est avéré parfait pour un petit-déjeuner énergétique et gourmand, pour dès le levé réveiller les papilles et apporter une touche de pep’s. À l’heure du goûter, il restait un morceaux de ce cake et je dois vous avouer que j’attendais ce moment avec impatience pour trouver l’excuse de m’en délecter de nouveau:-)

N’hésitez pas à varier les plaisirs avec d’autres jus d’agrumes et fruits secs. C’est ce qu’il y a d’amusant avec les cakes, à partir de quelques recettes de base bien élaborées, on peut à l’infini imaginer des combinaisons.

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Je profite de cette recette pour participer au défi Compile Moi Un Menu, organisé par Nath (Une cuisine pour Voozenoo), Sandra (Encore un gâteau)et Séb (Poivré Seb), dont le thème en cours porte sur les fruits d’automne et plus particulièrement sur les fruits secs ou à coques.

Ingrédients:

  • 130 g de beurre
  • 180 g de sucre
  • 3 clémentines
  • 3 œufs
  • 150 g de farine
  • 1/2 sachet de levure chimique
  • 100 g de figues sèches
  • 100 g d’abricots secs
  • glaçage clémentine: 2 clémentines + 150 g de sucre glace

Préparation:

  • Préchauffez le four à 180°C.
  • Faites fondre le beurre.
  • Dans un saladier, faites fondre le sucre avec le beurre fondu et le jus des 3 clémentines.
  • Dans un autre saladier, mélangez la farine avec la levure et les fruits secs coupés en petits morceaux (réservez quelques morceaux de fruits secs pour le décor).
  • Ajoutez le mélange sec au premier mélange et mélangez.
  • Ajoutez les œufs un à un en mélangeant bien entre chaque ajout pour bien amalgamer.
  • Enfournez pour 45 minutes environ.
  • Laissez tiédir puis démoulez.
  • Préparez le glaçage en fouettant ensemble le jus de 2 clémentines et le sucre glace (tamisez le sucre glace pour éviter les grumeaux) puis versez-le sur le cake.
  • Pour parfaire le décor, j’ai fait sécher quelques rondelles de clémentines dans le four refroidissant que j’ai ensuite disposées au-dessus du cake avec les morceaux de fruits secs réservés. Enfin, j’ai parsemé le tout de poudre de noisettes.

via Cake fruits secs (figues+abricots) et clémentine, glaçage à la clémentine — Une abeille en cuisine